Au Japon, il y a une entreprise qui se charge de faire perdre aux filles leur virginité. Le « Lost virgin cafe » dirigé par Masato, un jeune japonais connu sous le sobriquet de « maître des vierges », est un endroit d’où les filles ne sortent plus pucelles. Si les femmes d’outre-mer peuvent considérer ce lieu obscène, les Japonaises, elles, y trouvent leur salut
Au Japon, les jeunes filles vierges sont souvent pointées du doigt après l’âge de 30 ans. C’est cette difficulté qu’elles rencontrent dans leur communauté qui a poussé Masato à entreprendre en leur faveur. Au « Lost Virgin Cafe », celles de la gent féminine opprimées pour n’avoir pas encore goutté au fruit défendu, se mettent à l’aise une fois pour de bon. Elles se font dépuceler par les employés du « maître des vierges ».
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Le lieu de travail de Masato est un café meublé de belles chambres mises à la disposition de ses clientes. Celles-ci ont l’obligation de payer seulement les frais de l’hébergement qui s’élèvent à environ 73 euros. Après le service rendu, elles peuvent repartir peinardement, le travail est gratuit. Et le chiffre d’affaires de Masato n’est pas frivole puisqu’il a une grande clientèle composée de femmes qui sont frappées par le complexe de la virginité de la trentaine.
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Elles font même la queue avant de se faire dévierger. Certaines patiente pendant 4 mois avant de trouver une chambre dans le » Lost Virgin Cafe »« . Pour se faire dépuceler chez Masato, il faut être célibataire, ne pas avoir de MST (Maladie Sexuellement Transmissible), être peu bavarde et posséder une hygiène irréprochable.
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