L’ancien président sud-africain Jacob Zuma a évité de justesse une nouvelle tragédie, car il a récemment survécu à un accident de la route éprouvant qui aurait pu avoir des conséquences fatales. Le poids lourd de la politique, âgé de 81 ans, est sorti indemne d’une collision impliquant son véhicule blindé officiel et une voiture conduite par un automobiliste manifestement en état d’ébriété.
L’accident de la route de Jacob Zuma
Heureusement, l’incident n’a pas fait de victimes et Zuma et sa garde rapprochée en sont sortis indemnes. Toutefois, l’accident a ravivé les spéculations et les tensions dans un pays déjà en proie à des troubles préélectoraux.
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La collision, qui s’est produite quelques heures seulement après l’invalidation de la candidature de l’ancien président aux prochaines élections législatives, a fait froncer les sourcils et intensifié les tensions politiques dans l’Afrique du Sud d’aujourd’hui. Malgré son départ forcé du pouvoir en 2018 à la suite de scandales de corruption, Jacob Zuma reste une figure éminente et polarisante de la politique sud-africaine.
Zuma victime d’un attentat ?
Sa récente décision de rejoindre le petit parti d’opposition MK a été considérée comme une trahison par ses alliés politiques historiques au sein de l’ANC. Ce clivage a conduit à des affrontements sur de multiples fronts, y compris des batailles juridiques remettant en cause la légitimité de la nouvelle affiliation politique de Zuma.
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Dans ce climat politique instable, l’accident impliquant le véhicule de l’ancien président a suscité une avalanche de théories de la conspiration parmi ses partisans. Certains membres de son entourage ont même suggéré que la collision était une tentative délibérée orchestrée par des forces alignées sur le gouvernement actuel.
La rhétorique qui entoure l’incident souligne les divisions et les animosités profondément enracinées qui rongent l’Afrique du Sud, une nation aux prises avec un passé turbulent et un avenir incertain. Même un accident apparemment anodin est devenu un sujet d’exploitation pour une classe politique confrontée à une perte de crédibilité et à une agitation croissante.
