Tout au long du confinement, Iris Mittenaere est restée particulièrement active sur Instagram, partageant régulièrement sa routine sportive et ses idées recettes à la maison avec ses quelque 2,4 millions d’abonnés. Mais le 21 mai 2020, après avoir reçu un message déplacé sur sa silhouette filiforme, l’ex-Miss Univers a pris la peine de répondre à un de ses détracteurs sur le réseau social.
«Tu es ravissante, mais faire attention à ton régime, cherches-tu à faire l’apologie de l’anorexie ? Car tu es de plus en plus maigre !», a en effet pu lire la jolie brune de 27 ans. Ce à quoi elle a répondu en story Instagram :
«Trop maigre ? Si vous me connaissiez, vous sauriez que ma ‘maigreur’ a été un complexe durant toute mon enfance. Lors des visites médicales à l’école, on écrivait ‘trop maigre’ sur mon carnet. On m’insultait dans la cour, alors non. Je ne fais pas l’apologie de la maigreur et je ne confonds pas tout, a répliqué celle qui a été élue Miss France en 2016. J’ai longtemps eu une très mauvaise hygiène de vie en voulant prendre du poids, car j’étais complexée. À base de McDo friterie tous les jours, à trouver mes jambes affreuses en photos (…). Alors aujourd’hui, j’ai enfin appris à aimer mon corps».
La compagne de Diego El Glaoui a ajouté : «Manger sainement ne veut pas dire vouloir maigrir mais vouloir être en bonne santé. Comme faire du sport et avoir une bonne hygiène de vie. En envoyant ce genre de message, au contraire vous créez des complexes aux gens (…). Je dis STOP à ce genre de message sur nos poids».
Ce n’est pas la première fois qu’Iris Mittenaere évoque ses complexes en toute franchise sur Instagram. Déjà en mars dernier, après avoir dévoilé une vidéo d’elle en vacances sur l’île de la Réunion avec son petit-ami, elle avait affirmé :
«Je me sentais hyper mal après avoir vu la vidéo… Je me trouvais maigre, et en même temps pas tonique… J’ai clairement dit à Diego : je suis dégueulasse. Et c’est Diego qui m’a convaincue… On en a parlé plusieurs fois… Il m’a dit à quel point j’étais jolie (…). Ça part d’un vieux démon d’enfant où on me répétait chaque jour que j’étais un pic à brochette (…). Tout ça pour dire : notre regard est le plus dur sur notre corps. Nous voyons des choses, nous nous critiquons de manière bien plus virulente que n’importe qui. Stoppons !»