Alexis Lorenzo, une femme de Floride de 23 ans, est confrontée à une crise sanitaire dévastatrice après avoir reçu plusieurs vaccins qui, selon elle, l’ont laissée temporairement aveugle et meurtrie.
Lorenzo, qui souffre d’une maladie auto-immune rare appelée hémoglobinurie paroxystique nocturne (HPN), partage désormais son expérience déchirante sur les réseaux sociaux, suscitant le débat et soulevant des inquiétudes quant aux protocoles de vaccination chez les patients atteints de maladies aussi délicates.
Une maladie rare et potentiellement mortelle : comprendre l’HPN
Le parcours d’Alexis Lorenzo a commencé en janvier 2024 lorsqu’on lui a diagnostiqué une HPN, une maladie si rare qu’elle touche environ une personne sur un million. L’HPN amène le système immunitaire à attaquer et à détruire par erreur les globules rouges, ce qui entraîne des symptômes tels qu’une fatigue intense, des caillots sanguins et des complications potentiellement mortelles.
Cette maladie laisse les patients dans un besoin urgent de transfusions sanguines pour reconstituer les cellules endommagées.
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Début septembre, la femme s’est rendue au centre médical UCI de Californie pour une transfusion sanguine cruciale. Cependant, à son arrivée, elle a été confrontée à une exigence inattendue : les médecins lui auraient dit qu’elle devait être vaccinée contre le tétanos, la pneumonie et la méningite avant que l’intervention puisse avoir lieu. Selon Lorenzo, les trois vaccins ont été administrés simultanément et en quelques minutes, sa santé a pris un tournant dramatique.
Symptômes immédiats et alarmants : cécité et ecchymoses
La femme raconte les moments terrifiants qui ont suivi ses vaccinations. Elle affirme qu’en seulement 10 minutes, sa vision a commencé à s’assombrir, sa mâchoire s’est bloquée et elle a commencé à vomir de manière incontrôlable. Son corps a gonflé et des ecchymoses se sont formées partout, la laissant désorientée et effrayée. Son état était si grave qu’elle a temporairement perdu la vue, ce qui a entraîné une épreuve effrayante et déroutante.
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Les experts médicaux qui ont examiné son cas expriment des inquiétudes quant aux dangers potentiels de l’administration simultanée de plusieurs vaccins à des patients atteints de troubles auto-immuns comme la PNH. Bien que les vaccins soient généralement sans danger pour la majorité des personnes, les personnes atteintes de maladies liées au système immunitaire peuvent réagir différemment en raison de leurs réponses immunitaires accrues.