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Histoires fascinantes d’enfants élevés par des animaux !

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Des enfants élevés parmi d les poules, des chèvres, des singes, et des loups, loin de tout contact humain, réduits à la plus complète bestialité !

 

Tenez-vous bien, voici plusieurs histoires fascinantes et horribles d’enfants élevés par des animaux !

Histoire tragique d’un enfant sauvage élevé par des poulets

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Source : irishmirror

Voici le cas malheureux et incompréhensible d’un indo-fidjien, qui a passé toute son enfance dans un poulailler. Cette histoire est tragique et invraisemblable, et montre à quel point l’être humain est façonné par son milieu et son entourage.

Son nom est Sujit Kumar. A deux ans, il s’est retrouvé sans parent. En effet, sa mère s’était donné la mort et son père avait été victime d’un assassinat. On ignore comment il a pu se retrouver prisonnier dans un poulailler.

Mais jusqu’à l’âge de huit ans, ce pauvre garçon n’a jamais vu que des poules, si bien que lorsqu’on l’a extirpé de cet endroit infernal, il avait exactement leur comportement.

Un homme sauvage loin de la vie sociale

En effet, il émettait les mêmes sons, effectuait les mêmes mouvements, possédait la même physionomie que les poules, il picorait plutôt qu’il ne mangeait.

Enfants Eleves Par Des Animaux Poulets Fiji Sujit Kumar 1

Source : numbeo

De plus, il était couvert de plaies et de cicatrices. Ce cas n’a pas manqué d’attirer l’attention des neuropsychiatres, qui ont essayé de réintroduire cet homme sauvage à la vie sociale.

Les résultats, après tant d’efforts conjugués, sont encourageants. En effet, Sujit Kumar n’est plus nerveux ni agressif, et s’il est encore loin de pratiquer le langage humain, il semble cependant comprendre certains mots.

Quoi qu’il en soit, les spécialistes ne se font pas d’illusions, car Sujit a vécu avec les poules dans une période de croissance où le cerveau est malléable, et où les transformations qui s’opèrent sont difficilement réversibles.

L’enfant élevé par les singes

Enfants Élevés Par Des Animaux-Singes

Source : independent

John Ssebunya a vécu une aventure aussi triste qu’originale. Il était à peine âgé de trois ans lorsque son père a tué sa mère. De peur qu’il ne soit la prochaine victime, il s’était enfui dans une jungle ougandaise, en proie à une extrême terreur.

Plus tard, on apprit que le père s’était pendu. La nouvelle vie de John dans la forêt ne faisait que commencer. Bien plus tard, celui-ci a raconté qu’au tout début, plusieurs singes étaient venus lui témoigner de la bienveillance, en lui offrant des noix, des racines et des patates douces.

Étrange histoire d’un enfant élevé par des animaux

En deux semaines, une amitié était née entre le petit garçon et la famille de singes qui se chargeait de l’élever comme un membre à part entière de l’espèce.

Enfants Eleves Par Des Animaux Singes John Ssebunya 1

Source : brilliantnews

En effet, au fil du temps, John avait appris à grimper aux arbres, à rechercher sa nourriture, à s’intégrer pleinement parmi ses nouveaux frères, au milieu d’une forêt très peu fréquentée.

Mais un jour, une femme s’était aventurée dans le cœur de cette forêt à la recherche de bois de chauffage, et avait découvert la vie étrange de ce garçon parmi les singes. Elle le recueillit, et l’emmena voir un médecin pour s’assurer de la bonne santé du jeune garçon.

Les spécialistes, qui se sont évertués à le ramener aux mœurs humaines, se sont aperçus qu’il avait un comportement typiquement simiesque. Par exemple : il évite de croiser le regard des gens et essaye de se saisir des objets par les pieds. Enfin, il aura fallu plus de dix ans d’efforts pour redonner à John son humanité.

Amala et Kamala : Enfants élevés par des animaux

Enfants Élevés Par Des Animaux-Loups

Source : darbygray

Connaissez-vous la curieuse histoire des deux indiennes Amala et Kamala ? Ces deux enfants furent élevées par une louve pendant plusieurs années. Avant d’être repérées par un révérend local qui les recueillit en 1920, au moyen d’un stratagème adroit et prudent. Après cela, les deux filles furent conduites dans un orphelinat, dans un état d’animalité très prononcé.

On dirait des vraies louveteaux

En effet, d’après les descriptions, Amala et Kamala étaient de véritables louveteaux : elles se déplaçaient à quatre pattes, dévoraient de la viande crue, s’accroupissaient pour boire les liquides qu’elles lapaient.

Et la nuit, elles poussaient des hurlements et savaient s’orienter sans peine. De plus, elles étaient devenues agiles et rapides, et leur capacité auditive s’était développée outre-mesure.

Malheureusement, Amala, la plus jeune des filles mourut peu de temps après. En revanche, Kamala, choyée, caressée, bien nourrie, ne cessait pas de faire d’admirables progrès de réinsertion, et elle était devenue célèbre. Cependant, sa santé déclina et elle mourut vers 1928.

Vivre avec des gazelles

Enfants Élevés Par Des Animaux-Gazelles

Source : mysteriesrunsolved

Voici la fascinante histoire d’un garçon qui, dès l’âge de 7 ans, n’avait plus eu pour société que des gazelles ! Ne nourrissant de graminées et de feuilles de buissons, dans les contrées désertiques de l’est de la Mauritanie.

Cette histoire se déroule dans les années 50, et elle faisait déjà beaucoup parler, si bien qu’un jour l’anthropologue Jean-Claude Auger, enthousiasmé et curieux, décide d’aller à la rencontre de celui qu’on nommait « Gazelle Boy ».

Un garçon super rapide

Après avoir gagné la confiance du troupeau, l’anthropologue voit enfin ce prodigieux enfant aux cheveux sales et filandreux, et qui semblait avoir dix ans. L’anthropologue en fait une description : « Ses yeux sont vifs, sombres et en forme d’amandes ; son expression est agréable et ouverte ; ses chevilles sont d’une épaisseur disproportionnées et visiblement puissantes. »

Sur ce dernier point, la réalité va même au-delà de son impression. Car il se trouve que cet enfant sauvage avait acquis une vélocité vraiment surnaturelle.

En effet, lors d’une expérience de course-poursuite au moyen d’une Jeep, le garçon, pour fuir la menace, atteignait une vitesse de 50 à 55 km/h ! C’est d’autant plus incroyable qu’un sprinteur olympique n’atteint que 44 km/h.

Enfin l’anthropologue avait à maintes reprises essayé de le capturer, mais ses tentatives ont toutes échoué.