Décédé ce mercredi 10 mars 2021, l’ancien premier ministre ivoirien Hamed Bakayoko a un parcours exceptionnel. Le fils d’Adjamé aujourd’hui ancien grand homme d’État ivoirien a tout fait pour se hisser au  sommet.

S’il a connu un parcours miraculeux et exceptionnel, il faut souligner le chemin n’a pas été entièrement facile. De son enfance jusqu’à présent l’homme de média a connu des hauts et des bas.

Né le 08 mars 1965, Hamed Bakayoko a très tôt son baccalauréat et fait son entrée à Université de Ouagadougou dans la faculté de la médecine avant de laisser plus tard pour se confier à sa passion qui est la presse.

Même si l’on ne connait pas toute sa vie privée, il est évident que l’un des premiers moments tristes de Golden Boy est la perte de sa maman.

Selon l’information, Hambak comme les intimes ont l’habitude de l’appeler grandit au sein d’une famille musulmane et modeste de classe moyenne avec un père fonctionnaire et sa mère meurt alors qu’il était jeune.

Hambak est alors élevé par son père veuf avec son frère et ses deux sœurs, un autre moment très difficile à un jeune homme comme lui qui manquait la chaleur et l’amour maternels.

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Chemin faisant, le Golden Boy n’a pas baissé les bras de la vie associative en passant par l’engagement politique, il a vécu des moments difficiles.

Comme l’avait confirmé son mentor, Alassane Ouattara, le chouchou d’Abobo avait fait la prison dans au cours de son engagement politique.

« Hamed Bakayoko a été le premier prisonnier politique de ce pays, dès ma démission et mon départ aux USA. Hamed a été jeté en prison à cause de son attachement à la démocratie et à ma personne… », a rappelé Alassane Ouattara.

Mais malgré tout l’ancien ministre de la défense, premier ministre n’a pas laissé tomber la lutte. Même si par la triste nouvelle de la perte de son géniteur, qui avait également secoué feu ancien maire de la commune d’abobao, un moment qui pouvait lui mettre en difficulté, l’autre danger qui est annoncé ce mercredi après-midi en Côte d’Ivoire, qui n’est autre sa mort.

En février, subitement, on parle d’un éventuel contrôle médical du premier ministre Hamed Bakayoko en France.  Depuis qu’il a disparu des radars, aucun signe ne présageait sa mort même si le gouvernement parle du cancer, d’autres versions avancent un éventuel empoisonnement. Ces différentes expériences douloureuses de Hambak montrent  suffisamment combien de fois malgré son succès il a souffert.

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