Dans une tournure inattendue, des responsables qataris de haut rang au sein du groupe terroriste Hamas suggèrent que l’organisation pourrait être ouverte à la reconnaissance de l’État d’Israël comme moyen de mettre fin au conflit en cours dans la bande de Gaza. Cette annonce intervient alors que l’armée israélienne progresse vers la réalisation de ses objectifs opérationnels, ciblant les derniers bastions du groupe Hamas.
Alors que les Forces de Défense Israéliennes (FDI) font des avancées, la direction du Hamas détient un avantage stratégique, affirmant toujours détenir 139 otages. La situation est complexe, avec Tal Chaimi, un ressortissant roumain retenu en otage par le Hamas à Gaza, rapporté avoir tragiquement perdu la vie.
Lire aussi : http://Ukraine : Un député lance des grenades en pleine réunion municipale (vidéo) https://bit.ly/3RhqGfm
🚀Annonces pour Nos Partenaires !
Créez votre site web professionnel à un prix imbattable avec 3Vision-Group.
Découvrez l'OffreCommandez une application mobile sur mesure et transformez vos idées en réalité !
Commandez MaintenantAbou Marzouk, un haut responsable du bureau politique du Hamas, a évoqué la possibilité de reconnaître Israël, se conformant à la position officielle de l’Organisation de Libération de la Palestine, qui a précédemment reconnu l’existence de l’État d’Israël. Ismail Haniyeh, le chef du Hamas au Qatar, s’est montré disposé à participer aux négociations, mais à condition que tous les otages encore détenus soient libérés.
Du côté israélien, le rejet de toute négociation ou accord avec le Hamas persiste tant que les otages restants ne sont pas libérés. Néanmoins, des rapports du Qatar suggèrent qu’Israël aurait sollicité l’Égypte pour faciliter une éventuelle nouvelle trêve et un nouvel échange d’otages avec le Hamas.
Alors que les FDI diffusent des images de nombreux militants du Hamas se rendant, la situation se déroule après un siège prolongé d’un hôpital avec lequel ces militants s’étaient retranchés. Pendant ce temps, l’ambassadeur d’Israël au Royaume-Uni rejette catégoriquement la solution à deux États après avoir déclaré qu’il n’y avait pas de crise humanitaire dans la bande de Gaza.