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Guinée : 5 morts lors de manifestations pour la réouverture des classes (gouvernement)



Au moins cinq personnes ont été tuées lundi à Conakry en Guinée, dans des violences ayant éclaté lors de manifestations pour la réouverture des classes.

Depuis plusieurs semaines, de violentes manifestations d’élèves ont lieu à Conakry, en Guinée. Ce lundi, au moins cinq personnes sont mortes dans des violences ayant éclaté lors d’un rassemblement pour la réouverture des classes.

Plusieurs dizaines de blessés. « Notre capitale a été le théâtre (lundi) de manifestations non déclarées et interdites par le gouverneur de la ville de Conakry » pour réclamer la réouverture des classes, des manifestations marquées par des « actes de violence, de vandalisme » alors que, la veille, un accord avait été obtenu « avec les syndicats après plusieurs jours de négociations », selon le gouvernement. « A la mi-journée, ces manifestations ont malheureusement causé la mort d’au moins cinq personnes » et fait « 30 blessés, dont des membres des forces de l’ordre », a-t-il précisé.

Les élèves soutiennent leurs enseignants. La capitale guinéenne a enregistré ces dernières semaines plusieurs manifestations violentes d’élèves soutenant des enseignants vacataires réclamant leur intégration dans la fonction publique, une demande appuyée par les syndicats qui revendiquent aussi une augmentation de salaires et de meilleures conditions de travail. En raison des manifestations, le gouvernement avait fermé les écoles le 1er février. A la suite de discussions avec des responsables syndicaux, il avait appelé les enseignants à reprendre les cours le 13 février.

Tard dimanche soir, le gouvernement avait annoncé avoir trouvé un accord avec les syndicats, précisant que « les parties ont convenu de se retrouver ce lundi pour la signature formelle de cet accord ». Les violences de lundi ont également « créé des perturbations dans la circulation sur les différents axes routiers », a indiqué le gouvernement. De même source, on indique que le bilan comprend également « 12 personnes interpellées » et « des dégâts matériels importants sur des ambulances et des centres médicaux communaux ».

Lire l’article complet sur Europe 1

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