L’ancien président du parlement, Guillaume Soro, malgré tout, continue de mener sa rébellion face à la réélection d’ADO. De ses recours à l’Union Européenne sans résultats, à l’appel à l’insurrection non pris en compte, l’opposant n’attend jusque-là rien lâcher.

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Ecarté du listing électoral avant les élections, Guillaume Soro, candidat pour le compte de Générations et Peuples Solidaires (GPS) à l’élection présidentielle de 2020 en Côte d’Ivoire, continue de faire parler de lui en dépit des multiples restrictions auxquelles il fait face. Il n’y a pas longtemps, le militant du GPS avait eu recours à l’Union Européenne. En effet, celui-ci appelle l’organisation à envisager des sanctions contre le président Alassane Ouattara dans le but d’annuler son troisième mandat acquis à « feu et à sang ».

Même après l’élection présidentielle, le leader de l’opposition, exilé en France, continue de mener à bien le bras de fer entre le pouvoir et l’opposition. Pour Guillaume Soro, il n’y a point eu d’élection en Côte d’Ivoire le 31 octobre dernier.

Dans la même perspective, Guillaume Soro ancien président de l’Assemblée nationale ivoirienne, a lancé un appel à l’insurrection mais malheureusement, ses démarches acharnées ne porteront pas de fruits puisque ses appels n’ont pas été pris en compte.

Fortement remonté contre le troisième mandat d’Alassane Ouattara, Guillaume Soro n’a jamais cessé de doser les initiatives prises à l’encontre du président. Depuis son exil, l’homme politique ne cesse d’appeler ses militants à rejoindre le reste de l’opposition dans la rue, dans le respect du mot d’ordre de désobéissance civile et du boycott actif lancé il y a quelques semaines.

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Par ailleurs, Notons que le Conseil constitutionnel de la Côte d’Ivoire a récemment confirmé la réélection d’Alassane Dramane Ouattara pour le compte de l’élection présidentielle du 31 octobre 2020, une élection à laquelle étaient exclues les personnalités politiques notamment Guillaume Soro.