Guillaume Soro reconnaissant, remercie Dieu de lui avoir sauvé la vie. En exil, l’ancien président de l’Assemblée nationale maintient sa stratégie : rester sur une ligne dure et ne rien céder à Alassane Ouattara.
Un jour à Bruxelles, un autre à Genève, un troisième à Paris… Ces derniers mois, Guillaume Soro a la bougeotte. Rares sont ceux qui savent vraiment où il se trouve. Seul son premier cercle est capable de le situer. Et encore, pas tous les jours. Mais où qu’il soit, pas question d’en dire plus. Comme si le fougueux quadragénaire avait repris ses vieilles habitudes clandestines, forgées au temps où il dirigeait la rébellion des Forces nouvelles.
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Guillaume Soro qui dit qu’il parlera toutes les fois qu’il en aura l’occasion, vient de témoigner sa reconnaissance à Dieu. « Dieu seul sait ! Je le remercie de m’avoir sauvé la vie et pourtant à l’époque j’étais très en colère contre lui. Je ne comprenais pas l’acharnement du sort. Aujourd’hui j’ai mieux compris. Les voies du seigneur sont insondables. À lui seul la gloire. Qu’il nous éloigne des méchants. » Telle est la énième publication de l’enfant de Kofiplé sur son compte Twitter.
À en croire ses propos, l’ancien premier ministre, se dit miraculé d’avoir su éviter beaucoup de pièges de ses adversaires autrefois. Sans non plus citer de nom, on sait sans doute à qui fait illusion le président du GPS qui est en exil depuis bientôt deux ans.
Sûrement que ces propos de Guillaume Soro, sont en rapport avec la mort soudaine de l’ancien premier ministre Hamed Bakayoko, qui lui est décédé huit mois après son prédécesseur Amadou Gon Coulibaly.
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