L’ancien président de l’Assemblée nationale ivoirienne est dans de beaux draps. Il n’est pas du tout content des dernières scènes dont il a été victime le week-end. Il a failli être arrêté par Interpol.
Il en ce sens fait une importante mise au point pour clarifier l’opinion sur ce qui lui est arrivé. Voici sa propre version des faits.
GUILLAUME SORO :
« Je suis au regret de vous dire que neuf (9) ans après, la réconciliation nationale a échoué […] Après l’annonce de mon voyage aux usa, le consul général des usa à Abidjan a appelé mon protocole pour informer que mon visa de type diplomatique avait été annulé. J’ai pris un avocat américain qui m’a informé que que c’est l’État de côte d’Ivoire qui demandé son annulation. J’ai décidé d’établir depuis le 02 Août, un visa Normal lorsque mon avocat m’informe que les autorités américaines auraient reçu l’information que je suis terroriste […] Dans la nuit du dimanche au lundi dernier, la police espagnole a débarqué dans ma chambre m’affirmant que je suis en état d’arrestation sur instruction d’Interpol. J’ai saisi mes avocats et j’ai refusé de les accompagner. Après s’être concertés, ils se sont retirés et j’ai écrit à l’ambassadeur d’Espagne en Côte d’Ivoire […] La nation ivoirienne, son émergence sera le socle de mon programme de société que je transmettrai bientôt. En effet, aucune société ne peut parler d’émergence ou d’évolution sans écoles. »
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Vers quel genre de rivalité s’achemine-t-on encore ?
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