Les révérends pères étonnent certaines fois. Il y en a qui ne sont pas tout à fait sur le droit chemin. C’est ce que beaucoup se sont dits après avoir appris le décès d’une femme en plein ébats sexuel chez un prêtre catholique.  Un prêtre catholique, identifié comme le père Abel Mwelwa , a été suspendu à Lusaka, en Zambie.

Selon certaines informations, la défunte qui était membre de la Ligue des femmes catholiques de l’église catholique St Maurice avait menti à son mari qu’elle allait à des funérailles. Elle s’est retrouvée avec le prêtre. La police de Lusaka a ouvert une enquête sur la mort présumée de cette femme de 42 ans dans la maison du curé de l’église catholique Kaunda Square.

« Je voudrais vous assurer que tout va bien. Mon âme est au repos. Sachant que la justice de Dieu est de mon côté. Je n’ai aucune amertume contre la manière dont cela a été géré. Je permets à Dieu de régler la question », a déploré le Dr Abel Mwelwa.

Pour lui,  Monica Mulenga était décédée à l’hôpital de pneumonie aiguë selon les résultats de l’autopsie. Il condamne la façon dont le sujet a été traité surtout par ses pairs. « Le résultat d’une décision aussi mal calculée est ce qui a provoqué cette frénésie médiatique. Y a-t-il eu un moment dans l’Église catholique où la suspension d’un prêtre est importante pour tout le monde? Sinon, la question est de savoir pourquoi cela a été traité de cette façon? Peut-être aurons-nous des réponses au paradis », se demande-t-il..

« Je pensais que je devrais partager avec vous ce qui s’est passé. La justice de Dieu peut prendre du temps, mais elle vient sûrement », conclut le prêtre.

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