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Google souhaite que l’IA puisse accéder aux données sous droits d’auteur par défaut.

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Google souhaite que l’intelligence artificielle puisse accéder aux données sous droits d’auteur par défaut

Dans le but de stimuler encore davantage le développement de l’intelligence artificielle (IA), Google a exprimé son souhait que les algorithmes aient un accès par défaut aux données sous droits d’auteur lors de leur entraînement. Cette proposition suscite déjà des débats passionnés quant à ses implications sur la protection des droits d’auteur et la créativité.

Actuellement, la majeure partie des algorithmes d’IA sont formés à partir de vastes ensembles de données initialement composés par des chercheurs et des entreprises. Ces ensembles de données comprennent souvent des œuvres protégées par des droits d’auteur, telles que des textes, des images ou des extraits audio. Pour certains, cela est considéré comme une violation des droits d’auteur, tandis que pour d’autres, cela constitue une utilisation nécessaire pour la progression technologique.

La proposition de Google est de rendre l’accès aux données sous droits d’auteur automatique par défaut pour l’entraînement des algorithmes d’IA. Cela signifierait que les chercheurs et les développeurs n’auraient plus besoin de demander explicitement l’autorisation des détenteurs des droits pour utiliser ces données. Cependant, il est important de noter que Google a précisé que cela n’implique pas une utilisation commerciale des œuvres protégées sans consentement.

Les partisans de cette initiative soutiennent que l’accès facilité aux données sous droits d’auteur stimulerait l’innovation et l’amélioration de l’IA. Ils affirment que l’exclusion de ces données ralentirait considérablement le développement de nouvelles technologies et limiterait les avancées dans des domaines tels que la traduction automatique, la reconnaissance vocale et la vision par ordinateur.

Cependant, les détracteurs craignent que cela ne porte atteinte aux droits des créateurs et ne diminue leur motivation à produire des œuvres originales. Ils soulignent que de nombreuses œuvres protégées par des droits d’auteur sont le fruit d’un travail et d’une expertise considérables. Permettre l’accès à ces œuvres sans contrôle risquerait de les dévaloriser et de réduire la rémunération des créateurs.

La position de Google sur cette question est clairement énoncée dans une publication de recherche intitulée « Expanding Access to GPT-3 », dans laquelle l’entreprise argumente que de nouvelles méthodes d’accès aux données sous droits d’auteur sont essentielles pour répondre aux besoins croissants de l’IA.

Il est indéniable que cette proposition fera l’objet d’intenses discussions et de réflexions supplémentaires avant d’être mise en œuvre. Il est essentiel de trouver un équilibre entre l’encouragement de l’innovation et la protection des droits des créateurs. Le débat sur l’accès à ces données sous droits d’auteur continuera d’évoluer à mesure que la technologie et l’intelligence artificielle progresseront.

En fin de compte, la question de savoir si l’accès aux données sous droits d’auteur doit être automatique par défaut pour l’entraînement des algorithmes d’IA soulève des questions complexes concernant l’éthique, la créativité et la propriété intellectuelle. Il est crucial d’engager un dialogue et de trouver des solutions qui bénéficient à la fois aux innovateurs de l’IA et aux créateurs de contenus originaux.

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