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Google a été condamné à payer à un politicien australien.



Le propriété de Google, a reçu l’ordre de payer un politicien 410 000 £ de livre sterling pour avoir hébergé des vidéos qui l’ont chassé de la politique.

 

Il a été constaté que Google avait intentionnellement profité des vidéos « implacables, racistes, vivilifiques, abusives et diffamatoires » ciblant Mr John Barilaro, l’ancien vice-premier ministre de la Nouvelle-Galles du Sud. La décision est la dernière d’une série de jugements judiciaires et d’initiatives gouvernementales en Australie qui ont tenté de tenir les entreprises de médias sociaux responsables du contenu de leurs utilisateurs. Des dommages-intérêts de 715 000 dollars australiens (410 000 £) pour avoir refusé de supprimer des vidéos « implacables, racistes, vilipendaires, abusives et diffamatoires » sur YouTube.
Aux Etats-Unis, contrairement au Royaume-Uni et dans l’Union européenne, les lois australiennes font que les plateformes en ligne portent la même responsabilité légale que les éditeurs pour le contenu qu’elles hébergentpattaquaient l’héritage italien de Monsieur Barilaro et alléguaient sans preuve qu’il était « corrompu » – ne équivalaient à « rien de moins qu’un discours de haine. Il a déclaré que Google violait ses propres politiques visant à protéger les personnalités publiques et à être ainsi « adédécoupé prématurément Mr Barilaro du service qu’il a choisi dans la vie publique et l’a traumatisé de manière significative ».
Jordan Shanks le créateur de contenu, qui publie des vidéos sous le nom de Friendly Jordies, compte plus de 625 000 abonnés sur sa chaîne YouTube et 346 000 abonnés sur Facebook.
Le créateur Shanks était initialement un co-accusé dans cette affaire jusqu’à ce qu’il parvienne à un règlement de 100 000 dollars australiens (57 000 livres sterling) avec le politicien italien l’année dernière. Le règlement comprenait également le montage de certaines de ses vidéos sur Monsieur Barilaro.

L’entreprise Google ne peut échapper à sa responsabilité pour les dommages substantiels causés par la campagne de Shanks a déclaré le juge Steve Rares.
Monsieur Barilaro a déclaré aux journalistes à l’extérieur du palais de justice qu’il se sentait « autorisé et justifié » par le jugement.
Il n’a jamais été question d’argent. Il s’agissait d’excuses, de retrait. Maintenant, des excuses sont sans valeur après la poursuite de la campagne. Il a fallu un tribunal pour forcer la main de Google. Un porte-parole de Google n’était pas disponible pour commenter.

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