Au cours d’une interview accordé à la chaine ghanéenne Joy FM, Maurice Ampaw a indiqué que les gens qui gémissent lors des rapports sexuels doivent être punis. Le célèbre avocat ghanéen estime que faire du bruit pendant l’acte sexuel est un crime car cela viole le droit des autres de jouir également de la vie.

C’est un secret de polichinelle que de dire que Maurice Ampaw est un homme qui ne fait pas de fine bouche sur certains sujets de société. Le célèbre avocat très réputé au Ghana a encore fait parler de lui cette semaine. Morceau choisi pour cette sortie, le gémissement au cours des rapports sexuel. Pour l’homme de droit, « faire du bruit pendant les rapports sexuels est un crime, les uns et les autres doivent être punis ». Pour étayer ses propos, l’homme s’est appuyé sur l’une des ses propres expérience. Un soir alors qu’il revenait de service, il était devenu impossible pour lui de jouir de son repos parce qu’obligé de supporter les bruits d’un couple d’à côté qui satisfait ses besoins. « Après avoir fini avec une dure journée de travail à 19 heures, je suis entré dans ma chambre et ce mec et cette fille sont venus en ville pour se détendre (…) et ils sont venus se reposer aussi (…) J’étais couché et tout à coup leur lit faisait du bruit, puis je me suis réveillé, je ne pouvais pas dormir et la fille faisait un commentaire. Le couple m’a puni parce qu’à la fin j’étais excité et je n’avais personne avec qui faire l’amour », raconte l’avocat. Puis d’interpeller : « Les pires sont les hommes, si vous êtes un homme et que vous avez des relations sexuelles et que vous parlez et vous gémissez … vous ne pouvez pas vous contrôler? Vous devriez avoir le contrôle de soi , quand les animaux ont des relations sexuelles, les entendez-vous gémir comme ça? ».

Toutefois, l’avocat indique que ses propos n’appellent pas à s’abstenir de rapports sexuels mais en ayant à cœur de ne pas enfreindre le droit des autres. «Si vous appréciez, jouissez mais ne venez pas enfreindre [mes droits] … Nous devons y mettre un terme », termine t-il.