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Un crime macabre secoue le Gabon : Les détails glaçants de l’assassinat de la togolaise Mawousé Keti Agbono révélés



Un drame horrifiant a récemment bouleversé le Gabon, suscitant une vague d’émotion à travers tout le pays. Trois présumés assassins ont été capturés par la Police judiciaire (PJ) après avoir commis un acte atroce contre Mawousé Keti Agbono, une ménagère togolaise âgée de 39 ans, résidant dans le quartier Plein Niger du 4ème arrondissement de Libreville. Les révélations choquantes de ces individus ont plongé le pays dans l’effroi.

Le principal exécutant, identifié comme étant un ressortissant ivoirien du nom de Mohamed Dama, a agi en collaboration avec son complice gabonais, un certain Ulrich Keba Sylla. Le commanditaire présumé serait un homme nommé Youssouf, employé du patron libanais qui employait la ménagère togolaise.

Trois suspects appréhendés par la Police judiciaire racontent le sinistre récit du meurtre qui a ému tout le pays

Un Crime Macabre Secoue Le Gabon : Les Détails Glaçants De L'Assassinat De La Togolaise Mawousé Keti Agbono Révélés

Le matin fatidique, les trois criminels ont élaboré leur plan machiavélique pour cambrioler la maison du Libanais. Ils se sont présentés au domicile de ce dernier, situé dans un immeuble du 4ème arrondissement, en se faisant passer pour des ouvriers chargés de résoudre un problème de plomberie dans la salle de bains.

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La domestique togolaise a ouvert la porte, ignorant les sombres desseins des individus. Elle les a laissés pénétrer à l’intérieur et a continué ses activités. Cependant, alors qu’elle se trouvait dans la cuisine, les trois bandits se sont précipités sur elle. L’un d’entre eux l’a saisie par derrière, immobilisant ses mains comme dans un étau.

Un autre a commencé à lui ligoter les pieds. Lorsqu’elle a commencé à crier, un troisième individu est intervenu pour lui bâillonner la bouche et les narines. Le premier agresseur l’a étranglée en comprimant sa carotide. La pauvre togolaise a perdu la vie, étouffée et étranglée… Selon plusieurs sources, son corps aurait également subi des sévices.

Les trois assassins ont été appréhendés et ont rapidement fait l’expérience des horreurs de la détention dans les prisons gabonaises. Bien que la peine de mort ne soit plus applicable au Gabon, la perpétuité demeure une option.

Ce récit terrifiant met en évidence la violence impitoyable qui peut frapper n’importe qui, à tout moment. La population gabonaise est en état de choc face à cette atrocité, tandis que les autorités judiciaires s’efforcent de faire la lumière sur cette affaire macabre.

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