Dans un récent article, la chaîne française France 24 a soulevé une polémique autour de la polygamie du président élu du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye. France 24 a noté que le fait que Faye soit publiquement avec ses deux épouses, Marie Khone et Absa Faye, divise les Sénégalais et pourrait perturber le protocole lors de son investiture prévue mardi.
« Celui qui doit être investi mardi président du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, s’affiche publiquement avec ses deux épouses, Marie Khone et Absa Faye. Une situation qui divise les Sénégalais et qui devrait bousculer le protocole« , a écrit France 24.
En réponse à ces remarques, le professeur Franklin Nyamsi a critiqué France 24, soulignant que la polygamie est une pratique traditionnelle, légale et légitime dans de nombreux pays africains. Il a appelé les journalistes à exercer leur curiosité sur des questions plus pressantes et à ne pas se concentrer sur des sujets culturels sans importance.
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En réponse, le professeur Franklin Nyamsi a rappelé au média français que cette image est plutôt ordinaire en Afrique. « Le ridicule de France 24 commence sur le Président Bassirou Diomaye Faye. La polygamie étant traditionnelle, légale et légitime dans de nombreux pays africains, les journalistes néocolonialistes devraient exercer leur curiosité sur les scandales abominables qu’ils ont à zéro pas de leur propre nez« , a-t-il indiqué.
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« Le Président Sénégalais tranchera cependant bientôt sur l’avenir d’une certaine base militaire néocolonialiste. Ce sera un moment de transe plumitive très appréciable« , a-t-il lancé.
Nyamsi a également souligné que le président Faye devra bientôt prendre des décisions importantes concernant des questions telles que la présence de bases militaires néocoloniales dans le pays. Il a qualifié ce moment de « trance plumitive très appréciable », mettant en avant l’importance de ces décisions pour l’avenir du Sénégal.
Cette réaction de Nyamsi met en lumière les différentes perspectives sur les questions culturelles et politiques en Afrique, mettant en évidence les tensions entre les médias occidentaux et les voix africaines concernant la représentation et l’analyse des événements sur le continent.