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France: Une jeune militaire violée dans l’enceinte de l’Élysée



Une jeune militaire violée dans l’enceinte de l’Élysée. Les faits se seraient produits dans des locaux de l’état-major particulier de l’Élysée le 1er juillet 2021, en marge d’un pot de départ de trois collaborateurs. Au cœur de cette l’affaire, un militaire de l’état-major particulier de la présidence et, c’est une situation qui pourrait s’avérer très embarrassante pour l’Élysée.

A en croire le journal Libération qui a rendue publique la nouvelle, les faits se seraient produits dans des locaux de l’état-major particulier de l’Élysée le 1er juillet, en marge d’un pot de départ de trois collaborateurs, et bien après le départ du chef de l’État, Emmanuel Macron, qui avait prononcé un discours en début de soirée.

Militaire

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« Une jeune militaire, qui assistait auparavant au pot de départ, dit s’être vue imposer des violences sexuelles par un homme, lui aussi militaire [et] sous-officier. Les deux militaires sont affectés à l’état-major particulier, travaillent ensemble au quotidien et se connaissent », selon le quotidien.

La jeune femme aurait déposé « dans les heures qui ont suivi » une main courante au commissariat du VIIIe arrondissement, ajoute Libération.

Cette source a précisé que « les investigations sont toujours en cours » et le militaire mis en cause « a été placé » le 12 juillet à l’issue de son interrogatoire devant le juge d’instruction « sous le statut de témoin assisté », un statut moins incriminant que celui de mis en examen.

Comme à Libération, l’Élysée a indiqué à l’AFP ne « jamais » commenter « les affaires judiciaires en cours ». La présidence d’Emmanuel Macron a été marquée par d’autres agissements fautifs reprochés à l’un des collaborateurs du chef de l’État, le chargé de mission Alexandre Benalla.

 L’affaire avait déclenché un séisme politique dont les répliques avaient secoué pendant de longs mois le sommet de l’État, de révélations de presse en commissions parlementaires. Et l’Élysée s’était vu reprocher un supposé manque de diligence à le sanctionner.

Très rapidement, l’Élysée a précisé ce vendredi que « dès que les faits ont été portés à la connaissance des autorités, des mesures ont immédiatement été prises : écoute, soutien et accompagnement de la victime, affectation immédiate, loin de l’Élysée, de la personne incriminée ».

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