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France / Présidentielle 2022 : la candidature Zemmour séduit les catholiques

Des problèmes religieux et identitaires peuvent survenir dans les mois qui précèdent l’élection présidentielle, et l’on est très attentif à l’évolution du comportement d’Eric Zemur. En 20 minutes, Matthew Gallard a pris ce sujet plus au sérieux. Le responsable de la recherche Ipsos a évoqué plus d’électeurs de droite qu’en 2017, grâce à Eric Zemmour.

 

Marina Le Pen ne séduit jamais

C’est effectivement une nouveauté. Si, selon notre idée générale, les catholiques français pratiquants-participant aux messes au moins une fois par mois, représentant 5% du total des électeurs-sont assez conservateurs, alors les électeurs catholiques ont longtemps été réticents à favoriser l’extrême droite, Le La version du stylo. « Traditionnellement, c’est un électeur proche de l’aile droite du gouvernement », a expliqué Matthieu Gallard : En 2017, François Fillon a réussi à attirer 48% des suffrages, ce qui est un score énorme. Au second tour, avant même d’amorcer son virage à droite, Emmanuel Macron a même convaincu 71% ! Ni le Front national de Jean-Marie, ni le rassemblement national de Marina Le Pen n’ont jamais dégagé une atmosphère sacrée chez les catholiques, influencée par le protectionnisme des infirmières diplômées au Royaume-Uni et leur désintérêt pour les affaires sociales. un avortement – les obstacles dans leur cœur.

 

Pour 2022, la tendance semble être la même. Il s’agit de Valérie Pécresse, retenue comme candidate des Républicains début décembre, il a servi dans l’équipe et a compté 29% des suffrages tolérants. Cinq ans plus tard, Emmanuel Macron est encore loin d’être abandonné : le président sortant dispose de 22% des voix catholiques, contre une moyenne nationale de 24%, Mathieu Gallard (Mathieu Gallard) a donné 20 minutes dans le détail.

Le facteur Z

Cependant, les limites changent. Car sur le podium, entre Valérie Pécresse et Emmanuel Macron, trône désormais Eric Zemmour, qui a remporté 23 % des voix catholiques universellement reconnues. C’est un incident : si, comme vu plus haut, les catholiques ne se tournent jamais vers le RN pour obtenir de l’aide, alors le positionnement « RPR » d’Eric Zemmour divisera les électeurs. Selon Matthew Gallard, sous la candidature de l’ancien journaliste, « nous sommes toujours d’extrême droite, mais il est à la fois fort et conservateur sur les questions de société », tout en soulignant

« Un libéralisme économique très évident. Cela rassure les électeurs catholiques qu’ils sont plus bourgeois et font parfois plus attention à leurs devoirs qu’à leurs convictions principales – en effet, les prêtres locaux sont de moins en moins appelés à la chaire.

 

Le responsable de la recherche Ipsos a souligné qu’il s’agit de la technique de la stratégie de Zemmour. Les candidats profitaient de la position intermédiaire parmi les républicains : les républicains étaient une légion du passé et excellaient dans le macroisme, tandis que le RN ne parvenait pas à se débarrasser de la réputation d’amateurs. Ce faisant, il rassure les électeurs catholiques et prend souvent une position plus radicale que l’infirmière diplômée de Marine Le Pen.

Eric Zemmour rassure les catholiques par le conservatisme et le libéralisme, qu’il place ensuite au cœur de son discours sur l’identité française. « Quand il a dit : ‘Avec un gros remplaçant, la France ne sera plus la France, le catholicisme deviendra minoritaire et marginalisé’, ces éléments peuvent résonner avec la peur de cet électeur », a conclu Matthew Gallard. Il s’agit d’un électeur très prudent, qui ne votera jamais « Le Pen » dans les urnes et se retrouvera subitement convaincu par un candidat plus agressif mais stratégiquement avantageux.

 

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