Après avoir rappelé à l’ordre l’ensemble du personnel de la Fédération camerounaise de football (FECAFOOT), au lendemain de l’élection, le président Samuel Eto’o Fils a souhaité procéder à un audit.
En ce sens, le nouveau patron sport roi au Cameroun , a déjà destitué des membres du comité exécutif à l’issue d’une réunion de routine.
Selon les médias locaux, le nouveau président de la Fédération camerounaise de football (FECAFOOT) Samuel Eto’o Fils a demandé un audit de la gestion de son prédécesseur, Seidou Mbombo Njoya. On dit qu’il s’agit d’une des résolutions adoptées à l’issue de la première réunion ordinaire du comité exécutif de la Fédération camerounaise de football, qui s’est tenue à Kribi le 22 décembre.
Cependant, cette information est toujours le bruit du couloir. Car ni la FECAFOOT ni son président, les communiqués de presse ou les publications officielles de Samuel Eto’o n’évoquaient ce sujet.
« Après avoir fait l’état des lieux et pris connaissance du fonctionnement de la FECAFOOT au travers d’une présentation du secrétaire général, les membres du comité exécutif ont bénéficié d’un exposé sur le projet de parachèvement de l’immeuble siège sis à Yaoundé-Warda »
La lecture du communiqué de presse final se trouve sur la page Facebook de la FECAFOOT. Cependant, selon les informations véhiculées par les médias camerounais : « Le comité exécutif a formulé plusieurs résolutions. L’instance a donné mandat au président de la FECAFOOT pour le recrutement d’un ou de plusieurs cabinets indépendants en vue d’effectuer un audit financier, matériel, infrastructurel et du personnel de la FECAFOOT ».
On se souvient encore que Samuel Eto’o Fils a pris une décision radicale. Dans l’organisation du football camerounais, la plupart étaient aux commandes.
Il y a dix jours, en bloquant le portail principal de la FECAFOOT, certains des employés après 8 heures ont été laissés au portail bloqués. Sans courrier, personne ne peut entrer ou sortir avant l’heure de dépôt à 16h.
Cette décision a été saluée par les internautes, mais a été critiquée par le Front des Démocrates Camerounais (FDC).