Expertise France recrute un (01) Coordinateur

Agence publique, Expertise France est l’acteur interministériel de la coopération technique internationale, filiale du groupe Agence française de développement (groupe AFD). Deuxième agence par sa taille en Europe, elle conçoit et met en œuvre des projets qui renforcent durablement les politiques publiques dans les pays en développement et émergents. Gouvernance, sécurité, climat, santé, éducation… Elle intervient sur des domaines clés du développement et contribue aux côtés de ses partenaires à la concrétisation des objectifs de développement durable (ODD). Pour un monde en commun. En savoir plus : www.expertisefrance.fr

Description du projet DSSR en Guinée

A la demande du gouvernement guinéen, le Projet d’appui aux droits et à la santé sexuelle et reproductive des adolescent.e.s et jeunes en Guinée (DSSR), financé par l’Agence Française de Développement est mis en œuvre par Expertise France pour une durée de quatre ans (février 2023 – janvier 2027).

L’objectif général du projet est de contribuer à l’autonomisation des femmes et des filles et à la réduction des inégalités de genre, à travers une amélioration pérenne i) des connaissances des jeunes et des adolescent.es en matière de droits via une approche genre et ii) de leur accès à des services de santé sexuelle adaptés à leurs besoins spécifiques et différenciés.

Le projet ciblera en particulier les jeunes et adolescent.e.s (J&A), âgés de 10 à 24 ans scolarisés et non-scolarisés, dans la région de Boké en Guinée. Il se décline en trois composantes :

La promotion de la demande en matière de Droits à la Santé Sexuelle et Reproductive

Planification Familiale (DSSR/PF) des J&A, en particulier des filles et jeunes femmes, via la mobilisation et la sensibilisation des communautés par un consortium d’Organismes de la Société Civile (OSC) à travers une approche sensible au genre.

Le renforcement de l’offre de services de soins SSR/PF en répondant aux besoins spécifiques des J&A, en particulier des filles et jeunes femmes, pour contribuer à la réduction des inégalités de genre ; cette composante comprendra i) la mise à niveau des infrastructures et équipements, ii) la formation continue du personnel soignant et socio- éducatif, et iii) l’amélioration du dispositif de référencement pour la prise en charge des victimes de violences.

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