En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Découvrez nos offres pour annonceurs - Publicité 4 Publicité 4 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Visitez 3Vision Group - Publicité 3 Publicité 3 banner Publicité 3

Euro : Eriksen sauvé, ce qu’il doit à Foé…



Samedi, le malaise cardiaque du Danois Christian Eriksen à l’occasion du match contre la Finlande (0-1) à l’Euro a ému le monde entier. Heureusement, grâce à une série de bonnes décisions, le pire a pu être évité et le milieu offensif de l’Inter Milan se trouve désormais dans un état stable et conscient à l’hôpital. Il y a près de 18 ans, le 26 juin 2003, le Camerounais Marc-Vivien Foé avait eu beaucoup moins de chance, lui qui a perdu la vie sur le terrain du Stade Gerland en plein match de la Coupe des Confédérations suite à une crise cardiaque. Coprésident du club des cardiologues du sport en France, Laurent Chevalier se satisfait toutefois de voir que les leçons appropriées ont été tirées suite à ce drame, sans quoi Eriksen aurait certainement été condamné…

«S’il n’avait pas été pris en charge rapidement par les équipes médicales sur place, il serait mort. Comme Marc-Vivien Foé, comme Antonio Puerta, comme tous ces joueurs que nous avons vu s’effondrer sur un terrain, ne pas être pris en charge immédiatement et décéder», a expliqué le médecin dans les colonnes de L’Equipe. «En 2003 à Lyon, pendant la Coupe des Confédérations, la réaction à la suite du malaise de Marc-Vivien Foé avait été catastrophique. Le Camerounais s’était effondré, il était allongé sur la pelouse et personne n’était intervenu. Il était sorti sur une civière sans avoir été pris en charge. Il était déjà mort. C’est d’ailleurs cet accident qui a déclenché la prise de conscience des instances internationales du football et la mise en place d’une nouvelle procédure permettant aux médecins d’avoir accès au terrain sans autorisation de l’arbitre.»

Dans d’autres pays ou dans des niveaux inférieurs, la prise en charge n’est malheureusement pas toujours optimale et des drames continuent d’avoir lieu chaque année, à l’instar du Burundais Papy Faty en 2019 et du Camerounais Patrick Ekeng en 2016…

Rejoignez DOINGBUZZ PREMIUM

Découvrez un monde de contenus exclusifs et d'opportunités.

Accédez Maintenant

Lancez-vous dans une nouvelle aventure avec DoingBuzz

Découvrez une multitude d'offres d'emploi et de bourses d'études adaptées à votre parcours.

doingbuzz DIRECT
Mots-clés associés à l'article :

Newsletter

Abonnez-vous et accédez à tous nos articles en premier !