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Ethiopie : les forces gouvernementales ont forcé les troupes du TPLF



À environ 200 kilomètres d’Addis-Abeba, la capitale de l’Éthiopie, les troupes tigréennes du Tigré ont été contraintes de se retirer de toutes les villes qu’elles occupaient dans les régions d’Amhara et d’Afar après les récents combats.

Mieux encore, ils sont traqués par les forces gouvernementales et ils prétendent même contrôler une ville du Tigré.

C’est la deuxième fois que la guerre entre le TPLF et Addis-Abeba change de visage. En juin de l’année dernière, la situation s’est inversée en faveur du peuple du Tigré, suivie de l’expansion des forces rebelles dans les environs d’Amhara et d’Afar, ainsi que de la réconciliation de la capitale éthiopienne, et la guerre est entrée dans une nouvelle phase.

Dans le même temps, inspirées par le Premier ministre Abiy Ahmed, venu en personne au front, les forces royalistes reprennent l’avantage pendant quelques jours et obligent le TPLF à se retirer de ses zones occupées à Amhara et Afar. Lundi dernier, le chef du Parti Tigré, Debretsion Gebremichaell, a publié un communiqué annonçant le retrait de ses troupes des deux zones précédemment occupées et appelant à un cessez-le-feu.

Il a également écrit aux Nations Unies, demandant à l’organisation d’œuvrer non seulement pour le cessez-le-feu, mais aussi pour le retour de l’aide humanitaire.

Mais pour les autorités d’Addis-Abeba, le TPLF a tenté de traiter le retrait comme un acte volontaire, mais un moyen pour les insurgés de dissimuler leur défaite militaire sur le terrain. En fait, la récente acquisition de drones par l’Éthiopie auprès de la Turquie aurait pu largement inverser cette tendance et soutenir la force de loyauté.

Ces drones détruiront la machinerie lourde (chars, artillerie, camions, etc.) des Tigréens, leur causant de lourdes pertes. Par conséquent, désormais, les forces gouvernementales ne se contentent pas de repousser le TPLF dans leur bastion, mais tiennent à poursuivre les rebelles jusqu’à leur dernier bastion.

En effet, mercredi 22 décembre, Addis-Abeba a annoncé avoir pris le contrôle d’une ville du Tigré : « Les vaillantes forces de défense éthiopiennes et les forces de sécurité de la région Amhara, après avoir balayé les forces ennemies, ont capturé la ville d’Alamata », a indiqué un communiqué du service de communication du gouvernement. Le même communiqué indique que ces forces, « qui sont en train de détruire la clique terroriste en fuite, marchent sur Abergele », qui est une zone ou une zone de la zone du Tigré.

L’instauration d’un cessez-le-feu semble être la dernière préoccupation de l’autorité centrale éthiopienne, car la déclaration du département des communications indiquait également clairement que la guerre se poursuivrait jusqu’à ce que « la menace pour la nation » que réprésente la TPLF soit éliminée.

En conséquence, le peuple du Tigré est automatiquement exclu du prochain dialogue national à Addis-Abeba, qui deviendra un creuset d’insatisfaction. Le gouvernement a déclaré que le processus « ne doit pas être confondu avec une préparation à la négociation avec le groupe terroriste du TPLF ».

 

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