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« EN NETTE AUGMENTATION », LA FINTECH FRANÇAISE RÉUSSIT SON PREMIER SEMESTRE 2020



« L’année a débuté en fanfare », s’est réjoui Mikaël Ptachek, le président de l’Observatoire de la fintech à l’occasion de la publication des résultats du premier semestre 2020 pour l’industrie des nouveaux services financiers. En six mois, les startups de l’hexagone ont pu lever 496 millions d’euros, soit 12 % de plus qu’en 2019. Le rapport publié ce mercredi 1er juillet traduit un important optimisme, bien que le nombre d’opérations reste en deçà de 2019. Cette année, 36 levées de fonds ont été effectuées, contre 45 l’année dernière.

L’Observatoire a mis en avant la prise de maturité des projets de chacun, qui nécessite aujourd’hui de plus gros tours de table. De nombreux projets se sont concrétisés, tels que Memo Bank, la première néo-banque à obtenir son agrément bancaire, lui ouvrant la porte à de nouvelles opportunités de services des meilleures banques en ligne. « Le ticket moyen a ainsi quasiment doublé en un an » déclarait Mikaël Ptachek. Le montant moyen par opération se mesure à 13,8 millions d’euros, contre 7,5 millions en 2019.

Qui sont les moteurs de la croissance ?

Dans son étude, l’Observatoire de la fintech a dressé un classement des plus importantes levées de fonds, en comparant les mesures avec celles de l’année dernière. Quonto et ses 104 millions d’euros d’argent frais lui ont permis de s’ériger sur le haut du podium (il s’agit de la plus grosse levée de fonds de la fintech française). La néo-banque pour les pros avait conclu son opération XXL le 21 janvier, quelques semaines avant que son activité se fragilise avec la crise du COVID-19, soulignant son statut d’établissement de paiement sans offre de crédit.

En seconde position, la fintech Swile (qui s’appelait auparavant Lunchr), fut elle aussi un moteur de la croissance sur le paysage fintech français. 70 millions d’euros furent levés pour accompagner la diversification de son offre, à l’origine spécialisée dans la numérisation des tickets restaurants. La fintech compte s’ouvrir à l’international. L’opération, une fois de plus record, fut a contrario de Qonto une affaire post-confinement. En troisième position, c’est l’assurtech Alan qui a annoncé avoir levé 50 millions d’euros dans la poursuite de la digitalisation de son offre santé. Un tour de table en Série C, lui aussi bouclé au lendemain du confinement.

 

Le paiement avant les néo-banques

La fintech est une industrie large. Contrairement à ce qui s’érige de l’iceberg, les nouvelles banques mobiles ne sont pas les plus importants acteurs de la croissance. Au premier semestre, le paiement prédomine le secteur, avec une part de 178 millions d’euros levés relative au produit. Swile s’invite aux côtés de Lydia, iBanFirst, Famaco, ou encore le service de paiement solidaire Paygreen (que nous avons interviewé ici).

Les néo-banques concernent 138 millions d’euros, quand les assurtech constituent 61 millions d’euros. Plus discrète ce semestre – mais loin d’être sans perspective de croissance – les acteurs du financement auront levé 11 millions d’euros ces six premiers mois. On attend d’acteurs comme Younited Credit, October et Mansa de venir soutenir le marché ces prochains mois.

Des financements étrangers, loin des GAFA

Retour quelques mois en arrière, lorsque Qonto réalisait sa levée de fonds de 104 millions d’euros. L’événement, qui lui permettra de se préparer à l’obtention de sa licence d’établissement de crédit, était aussi l’occasion pour la fintech française de voir arriver les BATX (Baidu Alibaba Tencent Xiaomi) parmi les investisseurs. La néo-banque a reçu une partie de l’argent frais de la part de Tencent, qui continue à s’implanter dans les projets de l’hexagone, à une allure plus forte que les géants américains.

 

 

La tendance serait générale dans le reste de la fintech mondiale, comme l’expliquait l’Observatoire en mettant en avant les prises de position des BATX sur les cinq dernières années. En tout, 48 participations ont été recensées, contre « seulement 15 » du côté des GAFA. Tencent, qui est la maison-mère d’un certain WeChat, avait déjà pu s’inviter parmi le panel d’investisseur de la fintech Lydia, spécialisée dans le paiement mobile. L’opération fut conjointe à celle de Qonto, alors que les deux entreprises avaient réalisé leur opération respective la même semaine de février.

L’objectif de Tencent n’est pas totalement clair. Mai les deux fintech qui ont reçu l’aide financière du géant chinois pourraient néanmoins se montrer comme des leviers pour que le service WeChat Pay puisse être fonctionnel pour les centaines de milliers de touristes chinois en voyage en Europe. À ce jour, l’écosystème Wechat comprend déjà plus d’un million de programmes pour se connecter à des applications tierces.

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