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En Espagne et au Portugal, la présence de bisons et de chevaux rares contribue à la réduction des risques d’incendie

En Espagne et au Portugal, les autorités ont trouvé une solution naturelle pour lutter contre les incendies de forêt : la réintroduction de bisons et de chevaux rares dans les zones à risque. Cette initiative innovante s’avère efficace dans la prévention et la réduction des risques d’incendie.

Les bisons, également appelés « gardiens du feu », sont d’excellents partenaires dans la lutte contre les incendies. Leur régime alimentaire est principalement constitué de feuilles, d’herbes, et d’écorces d’arbres, ce qui limite la présence de combustible végétal dans la forêt. Par conséquent, la présence de bisons contribue à prévenir la propagation des incendies de forêt en réduisant la quantité de matière inflammable.

De plus, ces majestueux animaux sont également connus pour leur habitude de fouler le sol, ce qui écrase les petites branches et l’herbe sèche, limitant ainsi les risques de propagation du feu. Leur présence dans ces zones à risque favorise également une meilleure régénération des sols, car ils dispersent les graines à travers leurs excréments.

Outre les bisons, les chevaux rares jouent également un rôle essentiel dans la prévention des incendies de forêt. Ces chevaux, qui sont des races autochtones adaptées aux conditions climatiques locales, se nourrissent principalement d’herbes et d’arbustes, permettant ainsi de contrôler la croissance des végétaux inflammables. Leur présence aide à prévenir la propagation des incendies en limitant le combustible végétal disponible.

L’initiative de réintroduction de ces animaux rares a connu un franc succès. Non seulement cela aide à réduire les risques d’incendie, mais cela contribue également à la conservation de ces espèces menacées et à la préservation de la biodiversité. Les parcs nationaux et réserves naturelles des deux pays ont travaillé conjointement pour mener à bien ce projet, et les résultats sont encourageants.

Grâce à la présence des bisons et des chevaux rares, les zones à risque d’incendie sont mieux protégées et les écosystèmes locaux sont préservés. Cette approche naturelle et durable offre une alternative prometteuse dans la lutte contre les incendies de forêt, en favorisant l’équilibre écologique et en réduisant les risques pour les populations locales. Il reste à espérer que cette initiative inspirera d’autres pays confrontés à des problèmes similaires.

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