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Emmanuel Macron : « Ils ne passeront pas »



Emmanuel Macron ému et tendu. Ce vendredi 16 octobre 2020 à Conflans-Sainte-Honorine, un professeur d’histoire-géographie a été tué. Le meurtrier présumé a été tué par des policiers quelques minutes plus tard.

« Ils ne passeront pas », c’est ce qu’a laissé entendre Emmanuel Macron, le chef d’État français après avoir rencontré des collègues de la victime. Il s’est aussi rendu sur les lieux de l’attaque.

« Tous et toutes nous ferons bloc. Ils ne passeront pas. Ils ne nous diviseront pas. C’est ce qu’ils cherchent et nous devons nous tenir tous ensemble », a prononcé vendredi soir le chef de l’Etat, dénonçant clairement un « attentat terroriste islamiste caractérisé ».

Et d’ajouter : « L’obscurantisme et la violence qui l’accompagne ne gagneront pas », a déclaré le chef de l’Etat. Il a aussi appelé l’ensemble de ses compatriotes à faire bloc. Car selon lui : «  nous sommes d’abord et avant tout des citoyens unis par des mêmes valeurs, une histoire, cette unité est indispensable ».

Lire aussi : “Qui es-tu pour parler de structurer l’islam ? “, Erdogan à Macron

Selon nos informations, ce meurtre intervient en plein procès de l’attentat de 2015 contre Charlie Hebdo, magazine visé pour avoir publié des caricatures de Mahomet, et trois semaines après une attaque perpétrée au hachoir par un jeune Pakistanais devant les anciens locaux du magazine.

Emmanuel Macron, arrivé vendredi au collège de la victime vers 21 heures avec ses ministres de l’Intérieur Gérald Darmanin et de l’Education Jean-Michel Blanquer, s’est d’abord entretenu pendant des heures  avec les collègues de l’enseignant.

Avant de quitter les lieux, il a prononcé une courte allocution. « Un de nos concitoyens a été assassiné aujourd’hui parce qu’il enseignait, parce qu’il a prôné à des élèves la liberté d’expression, la liberté de croire et de ne pas croire. Notre compatriote a été lâchement attaqué, a été la victime d’un attentat terroriste islamiste caractérisé ».

Le Parquet national antiterroriste (PNAT) s’est saisi de l’enquête.  Selon les premiers éléments de l’enquête, la victime avait récemment montré à ses élèves des caricatures de Mahomet.

Lire aussi : Le président turc s’en prend violemment à Emmanuel Macron

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