La fièvre hémorragique Ebola, annoncée en Côte d’Ivoire, la situation ne cesse d’empirer. Les autorités ivoiriennes ont les mains sur la tête. La raison ? Outre le premier cas annoncé il y a quelques jours, neuf (9) cas contacts ont également été identifiés.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé, mardi 18 août, qu’en plus du cas confirmé de contamination par le virus Ebola détecté en Côte d’Ivoire, un cas suspect et neuf cas contacts avaient été identifiés et étaient suivis.
« Concernant les chiffres, il y a deux cas. Un qui a été confirmé, une jeune femme, et il y a également un cas suspect », a déclaré un porte-parole de l’OMS, Tarik Jasarevic, lors d’un point de presse à Genève.
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Commandez MaintenantLe premier cas de contamination par la fièvre hémorragique Ebola a été détecté samedi dernier à Abidjan chez une Guinéenne de 18 ans. Elle est arrivée en Côte d’Ivoire le 11 août en provenance de la ville guinéenne de Labé (nord), un trajet de plus de 1 500 km effectué par la route.
La patiente suit actuellement un traitement dans un hôpital d’Abidjan, tandis qu’une opération de vaccination des agents du secteur de la santé contre le virus Ebola a débuté lundi. Des habitants d’un quartier de la capitale économique ivoirienne, où a séjourné la jeune Guinéenne, ont été vaccinés mardi.
Aussi, la recherche des cas contact de cette jeune Guinéenne se poursuit dans sa région d’origine en Guinée.