Une question simple. Enfin, une question qui paraît simple mais qui ne l’est pas en réalité. Il se murmure que beaucoup d’influenceuses vont à Dubaï pour d’autres choses.
Certaines n’ayant pas grands moyens y vont pour se faire plaisir, s’envoyer en l’air avec des riches afin de gagner de l’argent et s’offir la vie de luxe rêvée. Le phénomène de prostitution prend de l’ampleur sur cette partie du globe qui ne cesse d’attirer du monde.
Dans le documentaire « Marie s’infiltre à Dubaï », on découvre une image de la ville des Émirats très éloignée de celle véhiculée généralement. A part l’esclavage qui s’y passe dans les maisons et entreprises, il y a la prostitution, le plus vieux métier du monde.
Le documentaire est en deux parties et tournées en caméra cachée. Plus de 2 millions personnes ont vu les vidéos. Pas la peine de revenir sur le choc.
D’ailleurs, dans ce reportage « Vice City », une intervenante fait savoir d’entrée que le phénomène « omniprésent et socialement accepté ». A Dubaï, quand on croise une femme sans voile, dit-elle, et qu’elle ne travaille pas, elle est prostituée. « Y’a pas de juste milieu », selon elle.
Témoignages chocs
Dans une story Instagram, une prostituée raconte avoir perçu 500 euros pour être restée 30 minutes avec un homme. « Et ça, on peut le faire plusieurs fois dans la soirée », insiste-t-elle en racontant sa technique : se poser dans un bar et attendre.
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Commandez Maintenant« En fait, même si [une fille] n’est pas une prostituée, par défaut elle va le devenir, c’est ça la Dubai life ! », révèle une jeune femme anonyme. Une autre prostituée raconte gagner en une nuit « 7 000 dirhams », soit 1 600 euros.
« La plupart des filles qui arrivent à Dubaï, elles rencontrent beaucoup de mecs, des Émiratis, des Arabes et même des Européens qui veulent les payer pour ‘’have fun’’ [s’amuser] », apprend-on. De là, il s’avère que les relations sérieuses sont presque impossibles.
Il n’y a pas que la Française Marie Benoliel qui s’est penchée sur le sujet.
Même la BBC a travaillé sur ce thème. Des stagrameuses britanniques populaires ont assuré à l’antenne de la BBC que le réseau social s’est transformé en «catalogue» pour hommes riches. D’où des rapports sexuels en échange d’argent. Tyne-Lexy Clarson, instagrameuse aux 420.000 abonnés a raconté qu’elle n’avait que 19 ans lorsqu’elle a reçu sa première proposition supérieure à 23.000 euros pour ce qu’elle qualifie de «prostitution haut de gamme».