Une nouvelle révélation de la science. Des chercheurs ont à la lumière d’une étude découvert que les souches de coronavirus variaient selon les pays: cas de la souche chinoise et celle française. Aucun lien n’existerait entre ces deux types de coronavirus.
La France avait quelques jours après la Chine, le 24 janvier enregistré ses deux premiers cas de maladie à coronavirus. Et des suites d’un envenimement de cette crise sanitaire qui s’étendait à d’autres États, l’Organisation mondiale de la santé a déclaré l’état d’urgence le 24 janvier 2020.
Contrairement à l’opinion que l’on s’est fait sur le développement du virus sous le ciel français (la forte probabilité que la maladie a été importée de la Chine ou de l’Italie), cette nouvelle étude de l’institut Pasteur supervisés par Sylvie van der Werf et Etienne Simon-Lorière relayée par les Echos nous livre une version en tout point étonnante.
Elle postule en effet que la souche de coronavirus diffusée en France n’a aucun lien avec les malades revenus de Chine ou d’Italie. Cela a été possible grâce à une comparaison de la souche qui circule actuellement en France et celle venue des deux autres pays.
L’intrigue qu’elle plante désormais c’est la question de savoir depuis quand en réalité le virus circule en France. Question dont la réponse permettrait de savoir depuis quand exactement le virus est apparu dans le pays d’Emmanuel Macron et d’en déduire la source.
Comme preuve, les chercheurs ont repéré et travaillé sur un patient qui n’était jamais encore sorti de France et qui n’avait pas non plus été en contact avec des personnes de retour de l’étranger.
“D’autres patients appartenant à ce même groupe se sont par contre rendus dans d’autres pays européens, aux Emirats arabes unis, à Madagascar ou bien encore en Egypte, mais les scientifiques ne disposent d’aucune preuve laissant penser qu’ils avaient contracté la maladie dans ces pays étrangers”, explique toujours la source.
Les travaux ne permettent pour l’heure pas encore aux chercheurs de dire avec exactitude la provenance réelle du virus.