17 personnes – dont des policiers et des manifestants – sont mortes en Iran au cours des six derniers jours. Cela est dû au fait que des rassemblements ont commencé à surgir pour protester contre la mort de Mahsa Amini. Amini était une femme détenue par la police pour ses manières. L’ONG IHR rapporte qu’au moins 31 personnes ont été tuées à la suite de ces manifestations.
Depuis le début d’il y a six jours, 17 personnes sont mortes à cause de la colère croissante en Iran. C’est selon une annonce de la télévision d’État sur le bilan des manifestations en vies humaines.
L’ONG IHR estime qu’au moins 31 personnes sont mortes depuis le début des récentes manifestations. Cependant, l’annonce n’a pas précisé combien de morts étaient des manifestants. Au moins 17 personnes au total sont mortes en raison des événements récents, dont la police et les manifestants.
Quatre membres des forces de sécurité et sept manifestants sont morts selon un précédent bilan officiel.
Le 21 septembre 2019, trois soldats paramilitaires ont été tués par balles ou couteaux lors d’épidémies dans la région nord-ouest de Tabriz. De plus, un membre des forces de sécurité a été tué lors d’une manifestation à Chiraz – qui se trouve au centre de l’Iran – le 20 septembre.
Selon l’agence de presse Fars, sept personnes au total sont mortes mercredi à Qazvin, dont une des suites de blessures au couteau.
Six manifestants seraient morts depuis le début des manifestations. Deux sont morts à Kermanshah – qui est au nord-ouest – et quatre sont morts au Kurdistan, qui est au nord-ouest. Mahsa Amini est originaire du Kurdistan.
Des responsables iraniens ont déclaré que leurs forces de sécurité n’étaient pas impliquées dans la mort des manifestants.
L’Iran a considérablement réduit l’accès à Internet avec des règles plus strictes.
Jeudi, les médias locaux ont rapporté que le gouvernement iranien avait bloqué l’accès à WhatsApp et Instagram par des mesures drastiques sur leur Internet. Cependant, il est possible de contourner ces restrictions en utilisant des VPN ou Tor.
Bien que l’oppression accrue de la police des mœurs fasse souffrir les femmes, elle ne permet plus qu’elle les affecte.
L’agence de presse Fars a rapporté que l’accès à WhatsApp et Instagram a été perturbé par les autorités ; c’est arrivé hier soir, ou mercredi.
L’Iran a récemment bloqué l’accès à YouTube, Facebook, Telegram, Twitter et Tiktok. Par conséquent, WhatsApp et Instagram sont les applications les plus populaires du pays.
Je m’abonne régulièrement à quelque chose.
Le gouvernement limite sévèrement l’accès à Internet via les sites de médias sociaux. Ils bloquent également fréquemment les sites Web hébergés à l’extérieur du pays sans logiciel anti-censure VPN.
L’annonce de la mort de Mahsa Amini le 16 septembre a déclenché des manifestations. Depuis, les connexions sont lentes.
Fars a expliqué que cette mesure était nécessaire en raison « d’actes de contre-révolutionnaires contre la sécurité nationale via les réseaux sociaux ».
En 2019, le partage de vidéos de troubles en ligne a déclenché des manifestations qui ont fait de nombreuses victimes. En réponse, le gouvernement a imposé des limitations strictes sur Internet pour empêcher les utilisateurs d’accéder au contenu.