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Des victimes du coronavirus cracheraient volontairement sur les gens pour les contaminer



Avec plus de 360 morts, le coronavirus est devenu une épidémie qui sème une panique ambiante. Etendu à plusieurs territoires tels que la France, les Etats-Unis ou encore l’Australie, la prévention contre cette maladie est de mise à l’heure où le risque de propagation est fort. En se confiant au site britannique Metro, Jessika Bailing, une professeure sud-africaine doute que certains patients contamineraient délibérément les autres. Elle relaie ainsi des rumeurs selon lesquels certaines personnes contaminées cracheraient sur le visage des médecins. Ainsi, elle partage son quotidien de femme en proie à une forte inquiétude contre la menace qui règne à Wuhan. Ce témoignage perturbant nous est relayé par nos confrères du site britannique Metro.

A l’heure où le coronavirus continue de sévir et de faire de nombreuses victimes, cette épidémie continue de peupler les colonnes des médias. Représentant un sujet de santé publique majeur, cette maladie fait parfois l’objet d’angoisses semant une véritable panique. Cette fois, une femme sud-africaine révèle un soupçon inquiétant. Selon elle, certains patients contamineraient volontairement les médecins en leur crachant au visage. Elle se livre également sur son quotidien à Wuhan, la province chinoise où est apparu le virus.

Une panique collective
Vivant à Wuhan, Jessika Bailing, une professeure d’origine sud-africaine livre son quotidien dans la province qui a vu apparaître le coronavirus qui a contaminé plus de 300 victimes. Elle témoigne ainsi d’une ambiance de paranoïa régnant sur le territoire où tout le monde devient suspicieux. « Nous sommes tous terrifiés d’aller dehors. J’évite cela autant que possible » raconte-t-elle. Puis d’ajouter : « La première fois que je suis sortie était pour consulter mon dentiste. Quand je suis arrivée tout le bâtiment était fermé. » Un quotidien qui relate l’ambiance de peur qui règne à Wuhan.

Des victimes du coronavirus

Un arsenal de protection
Avant de sortir de chez elle, Jessika tient à se prémunir contre le risque élevé que représente la province chinoise. Pour prévenir la contamination, la jeune femme ne laisse rien au hasard. « Quand je suis allée faire des courses, j’avais tellement peur. Je me suis couverte des pieds à la tête avec des gants, des lunettes et bien sûr mon masque » explique l’habitante de Wuhan. Elle ajoute : « Il y’avait seulement 3 personnes dans la rue qui est d’habitude remplie. Je ne l’ai jamais vue si vide et sans vie. » La jeune femme relate également les regards méfiants qui règnent dans l’espace public où chacun « change de trottoir si quelqu’un marche vers leur direction ». Un sentiment ambiant qui traduit la crainte de la maladie.

Sentiment d’abandon
Originaire d’Afrique du Sud, Jessica Bailing partage son angoisse quant à « l’inaction » du gouvernement de son pays natal. En se confiant à nos confrères de CNN, si elle ne revient pas sur ses craintes concernant la volonté délibérée de certains de contaminer leurs congénères, elle explique toutefois se sentir abandonnée en étant témoin de l’absence de mesures protectrices de la nation arc-en-ciel. Pour la jeune femme, toutes les autorités veillent à rapatrier leurs citoyens tandis que l’Afrique du Sud rechigne à prendre de telles mesures. « Avec une telle réponse du gouvernement, comment ne pas se sentir abandonné » interpelle la professeure. Clayson Monyela, le ministre des Affaires étrangères sud-africain a déclaré à CNN que le gouvernement tend à répondre à toutes les demandes.

Pas d’évacuation
Pour répondre aux craintes de ses concitoyens, Clayson Monyela explique son plan d’action. « Nous n’ignorons pas leur sort, et nous sommes conscient du besoin de vitesse pour aider nos citoyens à Wuhan. Nous sommes en contact avec la capitale pour voir comment répondre à cette situation dans ce conteste » déclare-t-il. Puis d’ajouter : « Le gouvernement chinois nous a assuré qu’aucune preuve ne justifiait l’évacuation des ressortissants étrangers vivant à Wuhan. Il a appelé au calme à cet égard ».

Comment réagissent les gouvernements face à la menace ?
Evacuation de ressortissants, mise en quarantaine, fermeture des frontières, autant de mesures qu’instaurent de nombreux pays des cinq continents dont fait partie la France. Le rapatriement vise également à mettre les ressortissants en quarantaine pour pallier le risque de contamination. 200 Français arrivés de Chine ont été placés dans une unité près de Marseille où ils font l’objet d’une surveillance médicale pour vérifier qu’ils n’ont pas contractés le virus. D’autres mesures de prévention viennent supplanter ces grandes manœuvres : Le port d’un masque chirurgical, l’utilisation de mouchoirs jetables, la recommandation d’éternuer dans son coude. Des instructions nécessaires pour éviter le risque de contamination.

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