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Des soldats maliens tués quelques jours après l’annonce du retrait des forces françaises



L’armée malienne affirme que huit de ses soldats ont été tués et cinq sont portés disparus après une attaque des rebelles dans la région nord-est d’Archam.

Les combats surviennent quelques jours après que la France et ses alliés ont annoncé qu’ils retiraient leurs forces du Mali.

Un communiqué de l’armée indique qu’en réponse à cette dernière attaque, l’armée de l’air malienne a tué 57 militants.

Il a indiqué que les soldats cherchaient des cachettes rebelles lorsqu’ils ont essuyé des tirs « d’hommes armés non identifiés ».

Il y a eu des inquiétudes régionales et internationales pour la sécurité du Mali suite à l’expulsion des troupes françaises, ainsi qu’à l’implantation des mercenaires russes dans la région.

Rien que cette semaine, des habitants ont déclaré à l’agence AFP que 40 civils avaient été tués dans la même région d’Arham où opèrent des groupes islamistes rivaux, dont l’État islamique.

Le Mali est aux prises avec des troubles djihadistes depuis des années, provoquant d’énormes manifestations en 2020 contre le président de l’époque, Ibrahim Boubacar Keïta, qui a été évincé par des putschistes promettant de rétablir la sécurité.

Depuis lors, les nouveaux chefs militaires du pays ont eu une série de désaccords avec l’ancienne puissance coloniale française, qui les a vus revenir sur un accord pour organiser des élections démocratiques cette année et expulser l’ambassadeur de France lorsqu’il s’y est opposé.

Elle a culminé lorsque le Mali a ordonné à la France de retirer toutes ses troupes, après près de 10 ans de lutte contre la menace jihadiste.

Renforcée par des soldats d’autres pays occidentaux, la mission conjointe du Mali – appelée la Force opérationnelle Takuba – se déplacera désormais sur une courte distance de l’autre côté de la frontière avec le Niger, en restant relativement proche de sa base actuelle.

Le président nigérien a déclaré vendredi que les frontières du pays seraient probablement plus vulnérables aux activités des militants djihadistes après le retrait des forces françaises et de leurs alliés du Mali.

Plus tôt cette semaine, lui et d’autres dirigeants ouest-africains ont rencontré le président français Emmanuel Macron avant l’annonce du retrait des forces du Mali, au cours de laquelle ils ont convenu que les troupes seraient relocalisées dans les pays de la région.

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