En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Découvrez nos offres pour annonceurs - Publicité 4 Publicité 4 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Visitez 3Vision Group - Publicité 3 Publicité 3 banner Publicité 3

Des ravisseurs d’étudiants nigérians arrêtés un an plus tard



La police nigériane a arrêté deux hommes soupçonnés d’être à l’origine de l’enlèvement très médiatisé de deux douzaines d’étudiants en avril 2021 dans le nord-ouest du Nigeria, et du meurtre de cinq d’entre eux.

« Ils ont tous deux avoué l’enlèvement des étudiants de l’Université de Greenfield, dans l’État de Kaduna, et le meurtre de cinq étudiants avant le paiement de la rançon et la libération des autres étudiants », a déclaré mercredi le porte-parole de la police, Olumuyiwa Adejobi, dans un communiqué.

Les deux suspects, Aminu Lawal dit « Kano » et Murtala Dawu dit « Mugala », qui ont été impliqués dans plusieurs affaires d’enlèvements, seront traduits en justice à l’issue de l’enquête, a précisé Adejobi.
En avril 2021, des hommes armés ont pris d’assaut l’Université Greenfield à Kaduna, enlevant une vingtaine d’étudiants et tuant un membre du personnel.
Quelques jours après l’attaque, les ravisseurs ont exécuté cinq otages pour contraindre les familles et les autorités à payer une rançon, qui a ensuite été obtenue.

Les 14 étudiants restants ont été libérés après 40 jours de captivité.
Des gangs criminels lourdement armés, connus sous le nom de « bandits », multiplient les attaques dans le nord-ouest et le centre du Nigeria, pillant, kidnappant et tuant de nombreux villageois.
L’année dernière, les « bandits » ont particulièrement ciblé les écoles et les universités pour kidnapper en masse des étudiants contre rançon auprès de leurs parents et des autorités.
Au total, environ 1 500 étudiants ont été enlevés en 2021 par des hommes armés, selon l’Unicef. Si la plupart des jeunes otages ont depuis été libérés contre rançon, certains restent toujours en captivité dans les forêts, où se cachent des groupes armés.

Rejoignez DOINGBUZZ PREMIUM

Découvrez un monde de contenus exclusifs et d'opportunités.

Accédez Maintenant

Lancez-vous dans une nouvelle aventure avec DoingBuzz

Découvrez une multitude d'offres d'emploi et de bourses d'études adaptées à votre parcours.

doingbuzz DIRECT
Mots-clés associés à l'article :

Newsletter

Abonnez-vous et accédez à tous nos articles en premier !