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La défaite de Fillon pourrait signer le retour de Sarkozy



Nicolas Sarkozy n’a peut-être pas dit son dernier mot. Et si François Fillon est éliminé au premier tour de l’élection présidentielle, il pourrait signer son grand retour, en « sauveur de sa famille politique »…

Le sort de François Fillon sera connu le 23 avril prochain lors du verdict des urnes à l’issue du premier tour de l’élection présidentielle. S’il franchit cet écueil et affronte, comme annoncé, Marine Le Pen au second, il accédera très certainement à la plus haute fonction nationale sous l’action d’un sursaut populaire salutaire, traditionnel barrage démocratique au FN. En revanche, s’il échoue à rejoindre cette « finale » ou, scénario plus improbable, s’il la perd contre Emmanuel Macron, son parti Les Républicains risque de ne pas survivre à cette nouvelle désillusion. Et c’est là que ressurgit l’hypothèse Nicolas Sarkozy.

« Prêt à prendre ses responsabilités »
Par deux fois, l’ancien président a fait ses adieux à la vie politique. La première fois en 2012 après sa défaite face à François Hollande et la seconde en novembre dernier après son élimination au premier tour de la primaire de la droite. La formule ne fermait pas complétement la porte, toutefois, selon Le Point: « Il est temps pour moi d’aborder une vie avec plus de passion privée et moins de passion publique ». Les doutes se confirment aujourd’hui. En effet, selon un proche et ex-conseiller anonyme, il se tiendrait désormais prêt à assumer ses responsabilités en cas de défaite de François Fillon. Pour deux raisons: préserver son parti du chaos et jouer les sauveurs d’un « pays fracturé », annonce RTL France. L’homme providentiel autoproclamé. Ni plus ni moins.

Discret mais présent
Si Nicolas Sarkozy est resté en retrait de la campagne LR, il a néanmoins subtilement tenté de pousser François Fillon vers la sortie au profit d’Alain Juppé lors de la crise du « PenelopeGate ». Il a ensuite joué les « pacificateurs » devant la détermination du candidat chevronné »: « Un rôle en coulisses qui ne conviendra pas indéfiniment à un homme habitué au premier rôle », conclut Le Point. Mais les Français souhaitent-ils réellement son retour? En cas de nouvelle défaite de la droite républicaine, le scénario de la « table rase » semblerait plus approprié pour relancer un parti à la dérive.

Nicolas Sarkozy, acte III? Réponse dans un mois.

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