Dans un post Instagram désormais supprimé, Joana Sanz, l’ex-femme de l’ancien footballeur brésilien Dani Alves, a divulgué par inadvertance une lettre sincère qu’il lui a écrite depuis la prison, implorant son pardon au milieu de ses ennuis judiciaires.
Cette révélation révèle les difficultés personnelles rencontrées par l’ex-footballeur de 40 ans, reconnu coupable d’avoir agressé une femme dans une boîte de nuit de Barcelone en décembre 2022.
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La révélation accidentelle de la lettre de prison de Dani Alves offre un aperçu des complexités de sa vie personnelle au milieu des procédures judiciaires.
La lettre de prison de Dani Alves
Avant d’être condamné à une peine d’emprisonnement de quatre ans et demi le 22 février, Alves a écrit une lettre à son ancienne compagne depuis sa cellule de prison, exprimant ses remords et sa gratitude pour son soutien indéfectible pendant cette période tumultueuse. Le contenu émotionnel de la lettre, rapporté par Vogue, révèle le désir profond de Dani Alves de se réconcilier et de reconstruire leur relation.
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Commandez MaintenantDans la lettre, Alves s’épanche, reconnaît ses erreurs et professe son amour pour Joana. Il écrit : « Ce dont j’ai rêvé et ce dont je continue à rêver. Je veux prendre tous les chemins avec toi. Je ne me suis pas trompé de femme, oui, c’était toi ». Ses mots traduisent un profond sentiment de regret et un désir ardent de réparer le lien qui s’est brisé entre eux.
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Révélation publique et suppression rapide
Initialement partagée sur l’Instagram de Joana, la lettre intime a rapidement attiré l’attention avant d’être rapidement supprimée. Joana a attribué la publication publique par inadvertance à une erreur destinée uniquement à son cercle d’amis proches, soulignant la nature sensible de la situation et les conséquences involontaires du partage sur les médias sociaux.
Ramifications juridiques et libération potentielle
En plus de son emprisonnement, Dani Alves doit verser à la victime de l’agression une lourde indemnité de 130 000 livres sterling (150 000 euros). Cependant, les médias espagnols suggèrent qu’Alves pourrait être libéré dès le 20 juillet, après avoir purgé un tiers de sa peine, ce qui laisse entrevoir une lueur d’espoir au milieu de son calvaire judiciaire.