Dadju révèle ses débuts : « Je n’avais pas d’argent, alors je suis allé voir… »

Lors d’une récente interview, le chanteur français Dadju a courageusement évoqué les défis auxquels il a été confronté au cours des premières étapes de sa carrière musicale. Le chemin de l’artiste franco-congolais vers le succès n’a pas été de tout repos. À ses débuts dans l’industrie musicale, il a connu des moments d’incertitude et de découragement.

Au milieu des obstacles, le frère de Gims s’est retrouvé à un moment charnière alors qu’il travaillait dans un studio. C’est là qu’un commentaire désobligeant de l’ingénieur du son aurait pu facilement briser sa détermination. Cependant, plutôt que de succomber au désespoir, il a utilisé ce revers comme un carburant pour sa détermination.

Un parcours nourri de détermination et de résilience de Dadju

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Son ambition est claire : tracer sa propre voie avec un album solo. Pour y parvenir, Dadju a décidé de prendre les choses en main et de rechercher activement des opportunités.

Se remémorant cette période de transformation, le chanteur raconte : « Alors que je débutais dans le monde de la musique, un jour, je chantais en studio et l’ingénieur du son m’a dit : ‘La percée va être chaude, mon frère, la foudre ne frappe pas deux fois au même endroit, ton frère (Gims) a déjà percé…’ J’ai dit quoi ? J’ai dit quoi ? Qu’est-ce que j’ai dit ? C’est ce que tu me dis ! Alors que j’enregistre dans votre studio, où je dépense beaucoup d’argent ».

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Déterminé à tracer sa propre voie, Dadju a pris les choses en main. Il a contacté DAWALA, exprimant son désir d’être produit, malgré son manque de ressources financières et de relations. Cependant, malgré sa persistance, il s’est heurté au silence.

Sans se décourager, le Prince Dadj resté déterminé. Il a clairement indiqué que si aucune aide n’était apportée, il irait de l’avant par ses propres moyens. C’est alors qu’il a reçu une réponse surprenante, comme le révèle Dadju : « Je leur ai dit : « Si vous ne m’aidez pas, je vais me débrouiller tout seul », et il a souri et m’a dit que j’étais sous contrat ».