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Cybercriminalité : La police béninoise défiée par les Gaymens



Résolument tourné vers l’éradication de la cybercriminalité au Bénin depuis il un moment, la police républicaine jour et nuit ne cesse de mettre sur pied toutes les dispositions possibles pour mettre fin à ce fléau. La police républicaine est arrivée à cet effet à franchir une grande étape dans cette lutte qui a engendré un succès incroyable.

Malheureusement, les Gaymens afin de faire croire à la population qu’ils se sont retirés, s’étaient en fait retirés un temps soit peu afin de mieux se préparer pour une nouvelle attaque. Ainsi ces derniers jours il est enregistré un nombre très élevé de cybercriminalité avec des technologies plus avancées et plus crédibles. Ils réapparaissent donc et essaient de défier la police républicaine.
Lerurs activités sont entre autres le piratage des comptes personnels et d’escroquerie sur menaces de leur cible. Ils disposent de mille et une manière de procéder afin d’atteindre l’objectif visé. Le cybercriminel peut t’annoncer que tu es en danger et qu’il faut une somme pour pouvoir te délivrer. Pour d’autres encore ils vont jusqu’à la rencontre de sa cible pour l’annoncer du décès d’un de ces parents et donc il souhaite que vous lui débloquer une somme pour faire les funérailles et juste après vous aurez le double de la somme rendu. Malheureusement ceux-ci disparaissent avant le jour même des obsèques. Tout sa n’est que arnaque et escroquerie d’un cybercriminel.

Ces tactiques citées ne constituent qu’une minorité parmi tant d’autres. Sur ce, le Commissaire de l’Office central de répression de la cybercriminalité (Ocrc) appelle toute la population à la vigilance. Mais la population exposée à tout instant à ces cybercriminels souhaite que la sécurité soit renforcée dans le pays.
L’on a souvent tendance à croire que ces cybercriminels entretiennent des relations avec les cadres de la police ou même sont sous leur couvert. Puisqu’il est même enregistré plus de 300 fausses cartes Lépi éditées et 200 cartes Sim enregistrées. Ces cartes falsifiées des hauts cadres leur permettent d’attendre plus facilement leur cible.
Ceci signifie que la police elle même n’assume pas ses responsabilités au sein du pays. Ce qui prouve une fois encore qu’il y a des failles dans le dispositif d’enregistrement des cartes Sim au niveau des opérateurs Gsm.

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