Laurent Gbagbo s’adresse à ses partisans, jeudi 27 janvier. Dans une allocution prononcée au 100e jour de la naissance de son parti PPA-CI, l’ancien président ivoirien a une nouvelle fois évoqué l’actualité brûlante en Afrique de l’Ouest. Gbagbo a ses propres idées sur le renouveau de la prononciation au sein de la CEDEAO.
A l’occasion du 100e jour de son parti PPA-CI, Laurent Gbagbo a commenté l’actualité africaine. Pour lui, « il y a beaucoup de danger ». Parmi eux, il a souligné qu' »il y a un danger d’antidémocratisme ». Cela ne manquera pas de provoquer des remous dans plusieurs pays. A cet effet, Laurent Gbagbo a évoqué la Guinée, le Mali et le Burkina Faso, sans évoquer ces pays. Mais les allusions sont assez claires.
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Commandez Maintenant« Aujourd’hui, on assiste à un retour des coups d’État dans la sous-région, mais à l’intérieur des pays, en plus du retour des coups d’État, on assiste à une gouvernance qui ne fonctionne pas pour la majorité. Or, un gouvernement ne fonctionne que lorsqu’il sert le plus ». C’est légal d’être crédible », a déclaré Laurent Gbagbo dans un discours diffusé en direct sur le site Internet de son parti.
Le professeur d’histoire a expliqué : « Lorsque les Grecs ont créé le concept de démocratie, cela signifiait et signifie toujours gouvernement du peuple, pouvoir du peuple. Certains ont donné plusieurs sens, gouvernement du peuple, gouvernement du peuple, gouvernement du peuple ». , mais c’est pour le peuple.Dans l’esprit de Laurent Gbagbo, il y a certes des coups d’État qui reviendront, mais il y a aussi des dirigeants qui ne sont pas démocrates et abusent du peuple.