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Coup de tonnerre en Russie : Poutine confirme son départ du pouvoir



Poutine confirme son départ du pouvoir en 2024. Réformes constitutionnelles, remplacement de Dmitri Medvedev… Le président russe, interdit de se représenter à la prochaine présidentielle, a précisé les contours de la future gouvernance du pays.

Développements importants de la politique Russe depuis hier. Morceaux choisis.

-Vladimir Poutine confirme qu’il quittera la présidence à la fin de son mandat actuel (2024).
– Dmitri Medvedev quitte la première ligne politique.
– Le gouvernement russe démissionne.
-Mikhail Mishustin devient le nouveau Premier ministre russe

Le Président Poutine souhaite réduire les pouvoirs présidentiels et introduire une limite de deux mandats.

Une suggestion notable dans ses propositions de révision constitutionnelle est que les futurs présidents doivent avoir résidé en Russie pendant 25 années consécutives avant de prendre leurs fonctions, et ne jamais avoir détenu de passeport ou de permis de séjour étranger.

(Cela empêcherait une grande partie de l’opposition moscovite pro-occidentale de se présenter. Sans parler d’une grande partie des libéraux russes, dont un grand nombre a vécu à l’étranger à un moment donné.)

Les modifications constitutionnelles proposées seront mises en œuvre après que le peuple aura voté en leur faveur, afin d’assurer un large consensus.

L’heure des grandes manœuvres pour la transition de 2024 a sonné en Russie. En annonçant une série de réformes constitutionnelles, mercredi 15 janvier, Vladimir Poutine a montré qu’il ne comptait pas attendre cette échéance, qui marque la fin de son quatrième et, théoriquement, dernier mandat de président, pour lancer ce processus périlleux. Et en nommant un nouveau premier ministre en remplacement du loyal Dmitri Medvedev, il a montré que le film de la succession avait bel et bien débuté.

L’intrigue s’est jouée en trois temps, suivant un scénario parfaitement huilé. Le président a d’abord profité de sa traditionnelle allocution annuelle devant les membres du Parlement et les élites politiques pour proposer une série d’amendements constitutionnels allant dans le sens d’une redistribution des pouvoirs au sommet de l’Etat russe.

Dans cette reconfiguration, le président verrait ses pouvoirs légèrement rognés, cédant notamment au Parlement la prérogative de désigner le premier ministre. Le président se verrait aussi adjoindre un Conseil d’Etat aux pouvoirs très renforcés et au rôle – celui d’un organe de supervision – désormais ancré dans la Constitution.

Annonces soumises au vote
Les mesures proposées par Vladimir Poutine prévoient également d’interdire aux membres du gouvernement, aux juges et aux élus de posséder une double nationalité ou des titres de séjour à l’étranger, et d’obliger tout candidat à la présidentielle à avoir vécu les vingt-cinq dernières années en Russie.

Le président, quant à lui, ne pourrait accomplir plus de deux mandats, et non plus comme actuellement « deux mandats consécutifs ». Cette précision n’aurait aucun impact sur le destin de M. Poutine, qui ne peut en aucun cas se représenter en 2024, mais elle interdirait par exemple à son successeur une réédition de la manœuvre effectuée par MM. Poutine et Medvedev en 2012.

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