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Côte d’Ivoire : La loi pénale condamne l’adultère



Selon le nouveau code pénal 2020, il existe un article sur la loi relatif à l’adultère en Côte d’Ivoire, rapporte nos confrères de Yeclo.com.

L’adultère est, le fait pour un époux de violer son serment de fidélité, de partage, et d’avoir des relations sexuelles  avec une personne autre que son conjoint envers qui il a affirmé ce serment. On parle également d’infidélité.

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La loi ivoirienne est claire à ce sujet. En Côte d’Ivoire, la loi pénale punit l’adultère. L’article 456 du code pénal dispose que : « Sont punis d’un emprisonnement de deux mois à un an, la femme convaincue d’adultère, ainsi que son complice ».

Il en de même pour le mari qui commet le délit. « Est puni de la même peine, le mari qui, dans la maison conjugale, commet un adultère, ou qui, hors de la maison conjugale, a des relations sexuelles habituelles avec une femme autre que son épouse ».

Les poursuites ne peuvent être engagées que sur plainte du conjoint offensé. La connivence ou le pardon du conjoint offensé empêche ou arrête toute poursuite et le conjoint offensé reste maître d’arrêter l’effet de la condamnation prononcée contre l’autre conjoint, en acceptant de reprendre la vie commune. Les seules preuves admises contre le complice sont, outre le flagrant délit, celles résultant de lettres ou autres pièces écrites de sa main.

L’adultère suppose donc non seulement une relation extraconjugale, mais aussi que la société et le contexte dans lesquels elle se déroule exige l’exclusivité sexuelle des conjoints.

 

L’homme avec qui une personne, qui n’est pas son conjoint, a des relations sexuelles est appelé amant. La femme avec qui une personne, qui n’est pas son conjoint, a des relations sexuelles est appelée maîtresse ou amante.

 

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