Le mercredi 18 mars dernier, l’hélicoptère Mi24 de l’armée ivoirienne s’est écrasé peu avant son atterrissage au Groupement aérien de transport et de liaison (GATL), d’après les informations relayées par plusieurs sources infaillibles. On ne note jusqu’ici, aucune perte en vie humaine mais trois blessés graves qui ont été évacués d’urgence à l’infirmerie de Corps de Troupe du Camp Militaire du Génie de Bouaké. C’est le bilan qui fait suite à l’incident ce mercredi.

Cependant, l’on se demande comment est ce possible ou qu’est ce qui serait donc à l’origine de ce crash d’hélicoptère. De ce fait, plusieurs déclarations ont été faites avec chacune une version différente. D’après une source proche de l’Etat major ivoirien, le pilote de l’avion, qui est un biélorusse, était en état d’ivresse au moment du décollage. Et comme d’habitude, il prend de la vodka. Toutefois, le pilote aurait oublié de prendre des précautions habituelles pouvant garantir son bien être avant le décollage de l’avion.
On rappelle que l’incident de ce mercredi est le deuxième qui se produit en Côte d’Ivoire en moins de quatre mois. Le premier s’étant produit en fin du mois de novembre dernier lors de la visite d’Etat du président ivoirien, Alassane Ouattara dans le Hambol. En effet, l’hélicoptère de type MI-24, en mission de surveillance et de protection se serait écrasé lors de son atterrissage à l’aérodrome de Katiola.

De fait, l’on se demande si c’est un disfonctionnement des hélicoptères Mi-24, un sabotage ou encore un manque de qualification de l’armée ivoirienne.