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Présidentielle/Côte d’Ivoire : « cette élection ne sera pas crédible », dixit Amon Tanoh



 

Après le rejet de leur candidature par le Conseil constitutionnel, plusieurs membres de l’opposition se sont insurgés contre la candidature d’Alassane Ouattara. C’est au tour de l’opposant Marcel Amon Tanoh de se prononcer sur cette ambiance pré-électorale.

 

A quelques jours de l’élection présidentielle de la Côte d’Ivoire, les conditions ne sont toujours réunies pour que tout puisse se dérouler dans le calme. Marcel Amon Tanoh fait partie des têtes de l’opposition qui ont été écartées de la course à la présidentielle. Le Conseil constitutionnel n’a validé que les dosssiers Alassane Ouattara, Henri Konan Bédié, Pascal Affi N’Guessan et Kouao Kouadio Bertin.

 

D’éminents membres de l’opposition à l’instar de Guillaume Soro et Henri Konan Bédié ont décidé de manifester leur mécontentement face à la candidature du président ADO. Le leader du mouvement Générations et peuples solidaires (GPS) a initié une unité d’action qui a été rejointe par ses pairs. Marcel Amon Tanoh, à son tour, a décidé de s’exprimer sortant ainsi de son silence qu’il a observé depuis le rejet de sa candidature.

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« Si la CEI et le Conseil constitutionnel n’ont pas rendu compte de la véracité des parrainages, ils ne rendront pas compte de la véracité des urnes. Cette élection ne sera pas crédible », a déclaré le diplomate ivoirien. Il a ensuite exprimé son angoisse par rapport à une éventuelle crise post-électorale semblable à celle de 2010.

 

« Aujourd’hui nous sommes déjà dans une crise pré-électorale qui est beaucoup plus exacerbée que les tensions pré-électorales de 2010. En 2010 avant l’élection, il n’y avait pas eu des morts. Là, on a déjà des morts, alors vous pouvez imaginer ce que sera l’après 2020 avec les tensions actuelles (…) Les élections, si elles ont lieu dans ces conditions-là, j’ai bien peur que nous allions vers un conflit post-électoral à nouveau en Côte d’Ivoire », a ajouté Amon Tanoh.

Lire aussi : « Penses-tu que nous nous sommes trompés ? »: la lettre ouverte de Guillaume Soro à Amon Tanoh

L’ancien ministre des affaires étrangères comme tous les autres membres de l’opposition ivoirienne, veut le retrait d’Alassane Ouattara de la course à la présidentielle. Ils jugent la candidature d’ADO « inconstitutionnelle ». L’élection présidentielle du 31 octobre s’annonce vraiment compliquée pour le président ivoirien.

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