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Coronavirus : pas de panique !



Les médecins et autres spécialistes des maladies infectieuses sont unanimes à noter que le coronavirus fait plus de peur que de mal. L’épidémie se transmet vite, contamine beaucoup, mais tue peu.

Le coronavirus sème la terreur aux quatre coins du monde. Son symbole est un Chinois – ou une Chinoise – portant un masque qui lui couvre la bouche et le nez. On a peur de ce virus ; on le voit partout et l’on s’interroge : comment s’en protéger ?

Il s’est attaqué aux êtres humains pour la première fois en décembre dernier dans la ville chinoise de Wuhan (11 millions d’habitants). Cette « grippe chinoise » s’est muée en moins de deux mois en épidémie et menace aujourd’hui de se transformer en pandémie : n’a-t-elle pas déjà fait des victimes en Corée du Sud, en Iran, en Italie ? Ne signale-t-on pas déjà des cas dans soixante autres pays ? Le mal n’a-t-il pas infecté quelque 700 personnes sur le bateau de croisière Diamond Princess, qui transportait 3 700 passagers ?

Sang-froid

On sait que ce virus se transmet très facilement d’un être humain à un autre et que la principale précaution pour s’en protéger comme pour ne pas contaminer les autres est de se laver souvent les mains et de porter un masque sur la bouche et le nez. On sait également que sa période d’incubation est de quinze jours ; on sait enfin que si l’infection se propage aisément, son taux de létalité n’est que de 2 % à 3 % : le coronavirus se transmet vite, contamine beaucoup, mais tue peu.

 

Surinformée, inquiète, l’opinion craint que ses dirigeants ne sous-estiment le danger ou ne cachent sa gravité. Surenchère médiatique aidant, elle les pousse à surréagir, et, ici ou là, on frôle la panique. Quelles sont les précautions utiles ? Lesquelles sont superflues ? Faut-il fermer les frontières, les écoles .

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