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Confession : Ma première s0d0mie m’a fait autant de bien que de mal



« Ma première s0d0mie m’a fait autant de bien que de mal ». Il m’est arrivé une mésaventure dont je risque de me rappeler toute ma vie, car en plus d’un grand plaisir, j’ai ressenti également une grande douleur.

Je sortais d’une rupture récente et j’avais envie de m’amuser. J’habite un studio à Paris et un de mes amis, José, m’a demandé s’il pouvait venir vivre chez moi quelques jours, avant son départ pour Séoul. J’ai accepté, et nous avons donc passé presque une semaine ensemble. Dès le premier soir, nous avons décidé d’ajouter à notre amitié du sexe sans conséquences.

Ma dernière soirée avec José

L’histoire commence un vendredi. Un autre ami de l’époque du lycée m’avait envoyé un message me proposant de passer chez lui dans la journée pour jouer à Pokémon.

Je traverse tout Paris pour aller voir le jeune homme, on discute dix minutes sur son canapé avant de s’embrasser et de nous diriger vers sa chambre. Nous passons l’après-midi à alterner entre sexe et câlins, puis en début de soirée, je lui dis que je dois partir pour passer ma dernière soirée avec mon José coloc éphémère.

Je rentre donc dans mon studio avec deux boîtes de ramens et José m’y attend avec deux bouteilles de vin (il est barman et choisit donc très bien le vin). Le programme de notre dernière soirée ensemble : boire. Mais il me prévient qu’il est fatigué et que le sexe ne sera sûrement pas de la partie, ce que je comprends tout à fait.

Ma première sodomie

Nous passons donc la soirée à boire, rire, manger, créer une chaîne YouTube, danser… puis rapidement José revient sur son idée première et me murmure qu’il a envie de moi. Je le charrie un peu mais l’envie est partagée, nos vêtements s’envolent donc rapidement. José commence alors à me faire le meilleur cunni de ma vie !

Ensuite il me prend en levrette à côté d’un miroir, ce qui est très excitant, puis il me demande si j’ai envie d’une sodomie. Je n’en ai jamais fait, mais je me sens très aventurière ce soir-là, j’accepte donc. Je vais chercher sextoy et lubrifiant afin qu’il puisse préparer la zone. Il est expérimenté, il fait donc ça très bien, et arrive à me pénétrer par-derrière sans me faire mal du tout, j’apprécie même beaucoup ces nouvelles sensations.

Il me murmure de mettre mon gode dans mon autre orifice pour faire une double pénétration, un de mes fantasmes. Je m’exécute sans demander mon reste. Nous finissons notre séance de sexe en beauté et nous endormons tous les deux. Le lendemain je dois passer le week-end chez mes parents, je lui dis donc au revoir, et vais à la gare.

Un lendemain de sodomie dans la douleur

En ce samedi matin, je sens une légère gêne au niveau de… mon vagin. Mais je me dis que c’est sûrement à cause de ma folle journée de sexe de la veille. Cependant, au cours de la journée, cette douleur ne fait que s’amplifier. Et le soir, je commence à savoir ce que j’ai. Sur la conversation de groupe avec mes potes (dont José) nous débriefons ma soirée de la veille (qui est, il faut l’admettre, un peu floue), et soudain tout devient clair.

Le gode qui passe de mon anus à mon vagin ! La douleur est celle d’une mycose, comme j’en ai déjà eu quelques années auparavant… Ça m’énerve car je connais très bien les règles d’hygiène, j’ai fait changer de capote à mon partenaire quand il changeait de trou, mais pour le sextoy, je n’ai vraiment pas réfléchi et je m’en mords les doigts. La douleur devient de plus en plus vive, ça me gratte, me brûle… on est samedi soir, je suis à la campagne, et donc je n’ai pas accès à une pharmacie avant lundi.

Le reste du week-end se déroule dans la douleur

J’insulte copieusement (mais amicalement) José pour cette mauvaise idée qu’il m’a soufflé et je cherche sur Internet des remèdes « naturels » pour me soulager temporairement. Le dimanche j’ai un repas de famille et je suis complètement ailleurs tant la douleur est intenable.

 

Guérir de ma mycose après une sodomie

Le lundi je suis heureusement de retour sur Paris ! Je sèche mon cours magistral de 10h pour rentrer chez moi, après être passée par une pharmacie où j’ai acheté crème et ovule Monazol, un fongicide qui avait déjà fait ses preuves sur moi la première fois que j’avais été attaquée par ces fichus champignons.

(NB : un ovule est une sorte de capsule à insérer dans le vagin pour traiter une mycose vaginale. L’objet se désagrège dans les heures qui suivent.)

Je rentre, me lave, mets la crème… et je revis. Je retourne au  cours l’après-midi et la crème a déjà énormément atténué la douleur. Le soir je sors dans un bar et je ne pense même plus à ma mycose ! Cette nuit-là, c’est mon meilleur ami qui dort chez moi, et je le fais attendre dans la salle de bain le temps que je mette mon ovule. Il est au courant de mon problème, prend bien soin de moi et me fait même un gâteau.

Finalement cette histoire s’est plutôt bien finie et je suis contente d’avoir pu m’en débarrasser aussi vite, mais la douleur a été telle que dorénavant je vais faire EXTRÊMEMENT attention à tout ce qui approche ma vulve de près ou de loin. Et faire plus attention aussi quand je mêlerai sexe et alcool !

Source madmoizelle.com

 

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