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France : condamnée pour ne pas avoir rempli son devoir conjugal, elle réplique



Condamnée pour ne pas avoir rempli son devoir conjugal, elle réplique. La justice française n’a fait aucun cadeau à une femme qui ne respectait plus certains de ses devoirs conjugaux. La justice a permis à son mari de se divorcer d’elle. En signe de contestation, cette dernière a déposé un grand recours contre son pays devant la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) pour « ingérence dans la vie privée ».

En 2019, la justice française avait prononcé le divorce parce qu’elle refusait de remplir son devoir conjugal. Selon l’un des chefs d’accusation, elle refusait en effet, d’avoir des relations sexuelles avec son conjoint. Mais ce motif ne serait pas suffisant selon elle pour qu’un divorce soit prononcé.

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A en croire aux confidences qui ont été faites par la sexagénaire au média français « Mediapart », il s’agirait d’une condamnation qui serait rétrograde. « C’est une condamnation d’une autre époque. Elle me scandalise. Je la vis comme un déni de justice », a-t-elle fait savoir.

Bénéficiant le soutien de la Fondation des femmes et le Collectif féministe contre le viol. Par un communiqué rendu public par l’organisation, elle condamne la décision rendue par la Cour d’appel de Versailles. La Fondation s’est en effet basée sur les chiffres publiés sur le viol conjugal pour dénoncer la décision de justice.

« Dans 47% des 95.000 viols et tentatives de viol par an, l’agresseur est le conjoint ou l’ex-conjoint de la victime ». Aussi, le « devoir conjugal » aurait-il été aboli depuis le 5 septembre 1990, indiquent la Fondation des femmes et le Collectif féministe contre le viol.

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