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Comment les artistes se font entuber par les maisons de production



Signature chez Universal Music par ici ou encore chez Sony Music par là, telles sont les expressions qui expriment à la plupart des fans de musique la consécration d’un artiste. Même si les plateformes de streaming et les réseaux sociaux ont redéfini la manière de distribution et de consommation de la musique, ces majors sont toujours des mastodontes incontournables.
Leur influence est si grande que bon nombre d’artistes se laissent séduire par leurs sirènes.
Mais qu’en est-il vraiment des contenus des contrats qui les lient à ces maisons de production?

La légende raconte que tout n’est pas toujours rose pour les artistes qui s’y rendent mais il faut reconnaître que tout n’est pas totalement noir et que tout est une question de type de contrat et de préférence de l’artiste.

Ainsi, certains contrats stipulent la prise en charge de la production complète de l’artiste de l’enregistrement à la distribution mais en retour les pourcentages gagnés par l’artiste sur les bénéfices sont tellement minimes.
C’est le procédé type pour la plupart des contrats en major où la maison de production gagne jusqu’à 80% sur les revenus contre 20% pour l’artiste qui n’est souvent pas propriétaire de sa propre musique.
Une réalité que certains artistes pris dans l’euphorie ne prennent connaissance qu’une fois le contrat signé.

D’autres types de signature plus libérales donnent un plus grande marge de manoeuvre à l’artiste lui même qui se charge des coûts de production et fait recours juste à la maison de production pour distribuer la musique.
Des pourentages entrent encore en jeu dans ce cas mais paraissent beaucoup plus avantageux pour les artistes.

D’autres contrats ne se font pas directement avec la maison mère mais avec des labels intermédiaires qui signent des contrats de distribution en premier avec les majors. Dans ce cas les systèmes de rémunération deviennent beaucoup plus complexes car des pourcentages s’appliquent à chaque niveau.

En gros, les artistes sont très souvent lésés dans ces contrats mais gagent en renommée et touchent des sommets inateignables en indépendant.
Pour combler le gouffre financier, ils se rattrapent souvent sur des showcases et concerts mais là aussi certains pourcentages s’appliquent. Les contrats cachent souvent des clauses non avantageuses pour les artistes et la vigilance est souvent de mise pour négocier un bon contrat.

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