L’artiste ivoirienne de renom Nayanka Bell s’est placée sous les feux de la rampe pour partager un point de vue profond sur la chirurgie plastique. Elle s’est prononcée sur les choix individuels en matière de beauté, notamment en abordant les débats de société entourant des procédures telles que le lifting brésilien des fesses (BBL).

Dans une expression franche de son point de vue, Nayanka Bell, célébrée pour sa rare beauté africaine, remet en question les normes sociétales et encourage les femmes à embrasser leurs propres chemins vers la beauté.

Ne pas juger celles qui font recours à la chirurgie plastique

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Elle remarque : « Nous vivons dans un monde différent de l’époque que nous avons connue. Aujourd’hui, nous devons aller vite, la jeunesse progresse, nous devons nous montrer, nous devons être, nous devons sortir de l’obscurité et apparaître dans la lumière. »

Face au discours sur la chirurgie plastique, Bell adopte une position nuancée : « Je ne suis pas contre, tant que vous ne vous dénaturez pas trop, tant que vous restez naturel. » Elle reconnaît l’évolution des normes de beauté et les choix personnels que font les individus pour améliorer leurs traits, en particulier après des expériences de vie telles que l’accouchement ou le vieillissement.

Si Nayanka Bell révèle qu’elle n’a personnellement pas eu recours à la chirurgie plastique, elle encourage passionnément les femmes à « rester toujours belles ».

Qu’en pense Dieu ?

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Elle souligne l’importance du bonheur individuel et exhorte la société à faire preuve d’ouverture d’esprit et d’acceptation, en déclarant : « Je pense que Dieu a dit que nous ne devions pas juger, alors nous devrions être sages et laisser les gens être heureux comme ils le souhaitent. Chacun conçoit son paradis comme il l’entend ».

Dans sa réflexion sur la spiritualité, Mme Bell met l’accent sur un lien avec Dieu qui va au-delà des dogmes religieux traditionnels. Elle note : « La Bible dit ce qu’elle peut dire, mais je crois que la nature, Dieu lui-même, parle à notre esprit, et parfois nous pouvons être en communion avec lui sans nécessairement connaître la Bible ».

L’essence du message de responsabilisation de Nayanka Bell réside dans l’amour et l’acceptation, où elle affirme : « L’essentiel est d’aimer, c’est la première Bible, notre premier Dieu est l’autre. Cela signifie respecter les autres, comprendre leur condition, les aimer pour ce qu’ils sont. Critiquer l’œuvre de Dieu, c’est se placer au-dessus de lui ».