On tient sans aucun doute l’une des histoires les plus insolites du weekend et elle nous vient du Royaume-Uni où une professeur de philosophie affirme que la seule façon de sauver la planète est d’arrêter d’avoir des enfants et de laisser la race humaine disparaître. Rien que ça

C’est le Daily Mail qui rapporte cette nouvelle dont on ne sait pas si l’on doit en rire ou en pleurer. En effet, Patricia MacCormack, une professeur de philosophie de l’Anglia Ruskin University de Cambridge, affirme que la seule façon de sauver la planète est d’arrêter d’avoir des enfants et de laisser la race humaine disparaître. Des propos qui sont en train de faire le tour du web. Selon elle, mettre un enfant au monde est la pire chose en termes d’empreinte carbone.

D’ailleurs, elle présente cette théorie dans son nouveau livre “The Ahuman Manifesto”, indique le Daily Mail. Selon les informations relayées par le média britannique, cet ouvrage a secoué de nombreuses personnes à travers le monde. Le moins que l’on puisse dire, c’est que sa théorie n’a pas été bien accueillie. Patricia MacCormack affirme même avoir reçu plusieurs menaces de mort. Une situation qu’elle déplore. Dans une interview pour “Yahoo Lifestyle”, elle a notamment déclaré: «Je propose simplement aux gens de ne pas se reproduire et ça se traduit automatiquement en actes de violence».

Le Daily Mail précise que les critiques et les menaces viennent souvent de personnes qui n’ont même pas lu le livre de Patricia MacCormack, mais qui sont déjà en complet désaccord avec sa théorie. Elle explique notamment cette situation par le fait qu’elle confronte la vision du monde des gens avec une vision qui en est complètement l’opposé. Celle qui vient d’Australie, qui est gothique et à la fois de DJ, n’est ainsi pas véritablement surprise d’un tel accueil pour son ouvrage. Une chose est certaine, toute cette polémique lui fait une certaine publicité.

Pour les plus curieux d’entre vous, le Daily Mail souligne que Patricia MacCormack détient une expertise notamment en féminisme, en théorie queer et en films d’horreur. Des connaissances qu’elle peut utiliser dans ses cours de philosophie qu’elle enseigne à l’Anglia Ruskin University de Cambridge.