Les révélations sinon les accusations vont bon train à l’encontre de l’ancien président de l’Assemblée nationale. Guillaume Soro qui a démissionné de son poste pour aller chercher le fauteuil de chef d’Etat et s’asseoir en voit de toutes les couleurs. Il n’y a presque pas de semaines qui passent sans que des accusations ne le plongent.
Cette fois, c’est le mouvement « Les victimes de Guillaume Soro » (VGS) quki revient à la charge le 25 novembre 2019 sur la situation des victimes de la rébellion de septembre 2002 conduite par Guillaume Soro, et réclame justice.
Pire encore, Guillaume Soro, -candidat à l’élection présidentielle de 2020- est accusé d’avoir fomenté la casse de la BCEAO. De plus, il est indexé dans la mort du général Ibrahim Coulibaly.
« La casse de la BCEAO a été pilotée par les responsables des Forces nouvelles avec Guillaume Soro à la tête sous le fallacieux argument d’acheter des armes pour la rébellion », a confié Doumbia Kader, président des VGS.
« Guillaume Soro a fait assassiner IB. IB n’a pas été tué au combat. IB s’est bel et bien rendu. Il a été attrapé, torturé et tué. Son cœur arraché et emporté. Quand IB s’est rendu. Ceux qui l’ont attrapé, ont communiqué avec Guillaume Soro avant son assassinat », révèle Doumbia. Des propos qui font froid dans le dos…
Avec Afrique sur 7
Lancez-vous dans une nouvelle aventure avec DoingBuzz
Découvrez une multitude d'offres d'emploi et de bourses d'études adaptées à votre parcours.
Newsletter
Abonnez-vous et accédez à tous nos articles en premier !