En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Découvrez nos offres pour annonceurs - Publicité 4 Publicité 4 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Visitez 3Vision Group - Publicité 3 Publicité 3 banner Publicité 3

Burundi : La CPI attend fermement les proches de Pierre Nkurunziza



Justice sera rendue à tous ceux qui ont été victimes de la crise post-électorale burundaise de 2015. Même après la mort de Pierre Nkurunziza, l’avocat des familles des victimes de la répression assure la Cour pénale internationale (CPI) va poursuivre les procédures d’enquête.

 

Selon la CPI, la crise débutée en 2015 après la réélection de feu Pierre Nkurunziza, avait fait au moins 1 200 morts et 400 000 déplacés. Des chiffres dûs aux violentes manifestations et aux violations massives des droits humains. L’instance juridique internationale a donc ouvert une enquête pour crime contre l’humanité. Mais, le décès du président réélu en 2015 a suscité beaucoup d’interrogations.

Lire aussi : Burundi : l’épouse de Pierre Nkurunziza fait des confidences émouvantes

En tout cas, si Pierre Nkurunziza n’est plus alors ses proches payeront le prix de sa politique de répression en 2015. En effet, les familles des victimes s’interrogeaient sur la suite des enquêtes une semaine après sa mort. « Nous avons reçu beaucoup d’interrogations de la part de la population pour savoir ce qu’il en sera à la Cour pénale internationale (CPI) », a expliqué Bernard Maingain, l’avocat des victimes et des familles des victimes de la répression de 2015. Celui-ci assure que le décès du président ne sera pas u’ handicap à l’enquête. « Les coauteurs peuvent aussi être poursuivis », a-t-il assuré. 

Lire aussi : Décès de Pierre Nkurunziza, voici les véritables causes

Concernant la probable indemnisation des victimes de la crise, l’avocat estime qu’elle peut prendre du temps mais il invite tout de même les concernés à faire preuve de patience. « Quand l’Etat de droit reprendra sa force à l’intérieur de l’appareil d’Etat, la question des indemnisations se posera inévitablement », a indiqué Bernard Maingain.

Lire aussi : Pierre Nkurunziza était un grand footballeur et chef d’État

Rejoignez DOINGBUZZ PREMIUM

Découvrez un monde de contenus exclusifs et d'opportunités.

Accédez Maintenant

Lancez-vous dans une nouvelle aventure avec DoingBuzz

Découvrez une multitude d'offres d'emploi et de bourses d'études adaptées à votre parcours.

doingbuzz DIRECT
Mots-clés associés à l'article :

Newsletter

Abonnez-vous et accédez à tous nos articles en premier !